• J'ai enfin compris comment les autres obtenaient de belles photos.  J'ai découvert: http://www.fotor.com/ Et c'est génial!  Démonstration en images.

    Pour cette occasion, je vous amène à Woluwé-Saint-Lambert, à la découverte de sa give box.  (vu les effets du logiciel, où est le réel?)

    La give box est nichée dans le parc des Sources, derrière la déchetterie, dans un vrai coin de verdure.  Contrairement à sa soeur de Watermael, la give box de WSL exige que le/la passant-e s'écarte de la voie publique pour la gratifier d'une visite de courtoisie.

     

     

    De dos:

     

    Les incroyables comestibles y sont aussi, du moins, officieusement:

     

     

     

     

     

     

     

    ***

     

     

     

     

     


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  • Emprunté à la bibliothèque.  Lu d'une traite.  De la plume de l'auteure du blog: Petites paroles 

    J'ai trouvé les paroles instructives, plaisantes à lire.

     

     


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  • Acheté et lu après avoir passé le WAIS III afin de mieux comprendre le topo.  


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  • Ca y est! Nous avons franchi le pas, et avons puisé dans nos économies pour effectué cet achat tant fantasmé: mon vélo électrique.  Notre but vise clairement à nous passer de voiture. Vu le prix de ce vélo, il équivaut à 2 années de 2 pleins par mois.  Si on compte les assurances et entretiens techniques, l'amortissement est plus rapide.  

    Notre voiture, nous l'avons achetée à 4, mes parents et nous.  Nous n'envisageons pas de la vendre.  Cela rassure mes parents qu'une voiture soit en tout à temps à disposition, même si ce n'est pas directement à la leur puisqu'ils doivent quand même emprunter la route en tram pendant 30 minutes pour venir la chercher s'ils en ont besoin.  

    Il ne s'agit donc pas d'une voiture qui disparaîtra de nos rues.  Mais son usage sera très exceptionnel.

    Pourquoi un vélo électrique? Parce que je n'aime pas rouler à vélo.  Que chez moi, cela monte et cela descend.  Que je ne m'imagine pas rouler avec une remorque chargée avec 2 enfants sans assistance électrique.  Parce que cela nous a paru le bon compromis pour que je roule à vélo plutôt que d'être découragée par l'effort, qui est loin d'être nul avec l'électrique (j'utilise assez peu l'assistance en fait).  

    C'est tout nouveau.  Cela date de la semaine dernière.  J'espère vraiment que nous pourrons relever notre pari de nous passer de voiture au quotidien (cela est plus que réaliste vu que notre fils ne fréquentera plus l'école de Tervueren).  

    Le lendemain de notre achat, j'effectue un essai avec ma fille sur le dos pour un trajet à 4 chez mes parents (route sécurisée sur l'allée verte ou piste cyclable tout le long).  Sur le dos, il paraît que je suis moins déséquilibrée par le poids de ma fille.  Puis, surtout, nous ne disposons pas encore de 2ème siège ni de remorque.  

    28 juillet '14 - Un vélo électrique pour se détacher de la voiture

    Un casque?  A envisager, en connaissance de cause. J'étais farouchement favorable à ce que mon homme porte un casque.  Jusqu'à lire un article dans S!lence qui explique, entre plein d'arguments, que le port du casque ne réduit pas de manière significative le nombre de blessés tout en augmentant le sentiment d'insécurité.  Or, ce n'est pas de rouler en vélo qui est dangereux mais les voitures qui roulent qui rendent le cycliste plus vulnérable.  Le danger n'est pas le vélo mais la voiture.  

     


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  • Récolte du champ, il y a quelques jours...
    Des radis énormes:

     

    Vous voyez les concombres en arrière-plan?

     

     

    les poivrons...

     

    Quel plat permet de manger tous ces légumes crus?

    Autre que la salade?

     

     

     

     

    Tout vient du champ: salade (le truc vert qui ressemble à de la salade verte, je ne me souviens plus du nom exact), concombres, tomates, basilic, persil plat, poivrons.  Le plat auquel je pense s'accommode très bien de radis, de haricots, de fenouils, etc.

    Il s'agit d'un plat de mes parents.

    Vous avez besoin, outre de toutes les crudités que vous aimez, de:

    (pour 4 personnes plus ou moins)

    • 1kg de viande hachée (porc/veau; porc/boeuf ou autre)

    • 1 boîte d'anchois à l'huile en bocal (avec ou sans câpre, selon le goût; avec, c'est meilleur, selon moi).  Pas d'anchois au vinaigre.  Enfin, moi, je je n'ai jamais utilisé ce genre d'anchois.  Ceci dit, pourquoi ne pas innover?  Après tout, cela pourrait remplacer le citron...

    • 1 citron

    1) Vous lavez tous les légumes et les coupez en grands morceaux, sauf le citron que vous détaillez en petits morceaux; grands parce que j'aime utiliser une feuille de salade, un gros bout de fenouil ou autre, pour contenir la viande aux anchois et le riz, et le citron.  

    2) Vous cuisez la viande hachée en émettant la viande.  

    3) Vous y versez le contenu d'un petit bocal d'anchois (avec l'huile).  (cela dégage une certaine odeur pour ne pas dire une odeur certaine.  Osez vous affranchir de cette odeur, la viande ainsi assaisonnée a bon goût.)  Je ne rajoute ni sel ni épice, les anchois et les épices de la viande hachée (Nous achetons le Coprobio) suffisent à donner du goût au plat.

    4) vous servez la viande aux anchois dans un bocal, les légumes dans une grande assiette.  Le riz sert d'accompagnement.  

    Inratable.  Sain.  Léger, Délicieux.  

    Bon appétit!

    Je prendrai une photo la prochaine fois que j'en prépare.  

     

     

     

     


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  • Emprunté à la bibliothèque...

     

    28 juillet '14 - Septembre en t'attendant d'Alissa Torres (dessin de SUNGYOON CHOI)

     

    Alissa Torres est veuve.  Son mari a été engagé le 10 septembre pour une entreprise travaillant dans les WTC.  Il n'avait pas encore signé de contrat écrit.  Elle était enceinte de 7 mois.  

    La trame n'est pas toujours fluide, mon homme et moi avons parfois perdu le fil. Entre ce qui ce passe au moment de la narration, les pensées et les souvenirs, il m'a fallu parfois lire 4 fois des planches pour comprendre.  

    Ceci dit, j'ai aimé ses remerciements, dont ceux qui s'adressent à sa doula personnelle qui l'a accompagnée dans son projet de naissance, bien qu'elle parle très très peu de son fils.  J'ai bien aimé aussi le passage de son expérience psi de contact avec son défunt mari.  Si, comme moi, vous le trouvez en bibliothèque, voici une lecture qui vous donnera à voir sur l'envers du décor des donations.  

     


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  • Je me trouve trop grosse.  Ces derniers temps, mes ourlets me sautent aux yeux.  Cela n'a pas toujours été le cas.  Il y a encore quelques mois, je n'éprouvais aucun malaise à ce propos. Puis, ces derniers temps, j'ai vu mon ventre et ma taille enfler.  

    Ce n'est pas à cause des grossesses, je ne vais pas mentir. J'ai toujours eu du bide.  Enfin, non, pas lorsque j'ai rencontré celui qui partage ma vie.  Quand je suis amoureuse, je ne mange plus.  A ce moment-là, j'avais une belle taille. Depuis, la différence avec maintenant est de taille.  

    Ce qui me remonte le plus, c'est que je milite pour que les femmes aiment leur corps tel qu'il est, telles qu'elles sont.  Et même avec leurs poils.  

    Mais ces derniers temps, rien n'y fait, je trouve vraiment que mon ventre rend ma silhouette disgracieuse quelle que soit ma tenue.  

    Alors comme un échos à mon rejet de mon corps du moment, voici un texte auquel je souscris...tout en mesurant combien le prescrit "aime ton corps" est difficile dans un contexte où nous sommes mitraillé-es d'images photoshopées.  Deux clips permettent d'ouvrir les yeux: Try de Colbie Trayat et Nouveau parfum de Boggie.

    Le combat est inégal.  Nager à contre-courant, à l'encontre des canons de beauté est un combat perdu.  C'est ce livre, dévoré sur la plage en 2007, qui m'a ouvert les yeux à ce propos.

     

     

    J'ai prêté ce bouquin donc je ne peux vous livrer d'extraits parlants.  Si le sujet de la beauté vous intéresse, si la sociologie vous parle, allez-y, consacrez quelques heures à cette étude, elle en vaut la peine.

    Sur le sujet des poils, et du poids de la société, jugez par vous-même: une photo sur un compte instragram censurée.  Petra Collins était-elle à poil? Que nenni, elle portait un bikini.  Instagram regorge de filles en bikini (883 628 images de maillots de bain sur Instagram (c'est le nombre d'images marquées # bikini -)

    Alors, pourquoi censurer cette photo?  Y faisait-elle l'amour?  Se masturbait-elle?  Non, la réalité est irréelle.  Elle s'est photographiée sans retouche. Entendez, avec ses poils pubiens.  Indécent, selon Instagram.  Un incident qui en dit long sur notre soumission au diktat de la mode, même pour les plus militantes.

    Dans le même ordre d'idées, c'est une peinture qui a été censurée dans un musée.  La toile honnie découvrait une partie du pubis poilu.  Il a été remplacé par un-e autre nu-e.  

     

     

     

    Ce qui fait dire à la photographe censurée: «On dirait que la clientèle de la Mall Galleries peur supporter les nus, tant que le modèle est le récipiendaire passif et inoffensif du regard du spectateur errant, écrit la journaliste. L'implication est claire: à la minute où une femme est vivante et libre de bouger, un agent actif de sa propre sexualité, elle devient une menace pour la société.»  (source: Le Figaro)

    Pourtant, malgré cette inégalité engendrée par la beauté, par essence, culturelle, malgré ce constat de Jean-François Amadieu selon lequel "l'un des facteurs les plus insidieux de discrimination sociale de reproduction des inégalité" s'incarne dans l'apparence physique, malgré cela, je reste convaincue qu'il convient de résister.  Et de militer.  

    Certes, le militantisme ne renverse pas la tyrannie de la beauté passive et soumise.  Il la dénonce et certain-es distillent même des doutes...à petites doses.

     

    Julia Roberts en robe avec des poils bruns sous les aisselles (pas facile du tout à assumer, je sais de quoi je cause).

     

    L'artiste Daniel Soares dénonce les pubs photoshopées.

    Ce n'est pas parce que je sais que le combat est perdu que j'avalerai ces couleuvres sans protester.  Après une année poilue, je repasserai par la case épilateur prochainement, supporter le regard boulot...un pas de trop.  Bien que ma patronne soit un brin moustachue, remarquez.  Osez vous aussi.  

     


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  • Hier soir.  Je me bats dans la salle de bain avec ma princesse pour qu'elle me laisse lui brosser les dents. Je trouve qu'elle a les dents jaunes et je m'inquiète des carries.  Elle mange quand même pas mal de sucre, mine de rien.  Elle refuse.  Elle ne cède en rien, ma fille.  Je m'énerve. Je m'énerve très souvent ces temps-ci.  Et les presque 4 jours pleins sans enfant n'y ont rien changé.  Comme si le fait d'avoir goûté à la liberté de vivre sans enfant, pendant 4 jours, un inédit depuis 5 ans, comme si ce vent de liberté avait accentué les contraintes de mon quotidien avec enfants.  Il n'y a rien à faire, j'ai beau les adorer, il y a des périodes où je sature.  Les enfants trinquent évidemment dans ces moments-là.

    La moutarde est donc en train de me monter au nez. Mon fils, dans sa chambre jusque là, apparaît à la porte de la salle-de-bain.  Avec sa légendaire diplomatie, il s'immisce dans ma "conversation" avec ma chérie.

    - Maman, rappelle-toi ce que dit papa!  Il dit: il faut écouter A.  Alors, écoute-la.  Elle dit qu'elle veut sa brosse-à-dent.  Donne-lui sa brosse-à-dents.  

    Là-dessus, j'abdique.  Du moins, ai-je cette impression de résignation lorsque je tends la brosse-à-dents à ma fille.  Mais la colère n'est pas loin.

    Moi, à mon fils:  Et moi, alors?  Qu'est-ce qu'il dit, papa? Il ne dit pas qu'il faut m'écouter, moi aussi?  Si j'ai envie de lui brosser les dents moi-mêmes pour qu'elle n'ait pas de caries, elle ne doit pas m'écouter?

    Mon fils: Elle doit t'écouter aussi!

    En bref, hier, j'ai laissé tomber.  

    ***

    Aujourd'hui fut une journée très éprouvante pour moi. J'ai perdu mon calme à maintes reprises. A bout de nerf.  Mais ce qui est vraiment chouette, c'est que même lorsque l'atmosphère est archi-tendu, même lorsque je suis en très mauvaise disposition, mon fils tente toujours de mettre des mots sur la raison des événements, des altercations et le fil des événements et les raisons pour lesquelles le cours a déraillé.  

    ***

    Prolixe en mots...Prolixes en dessins également, mon fils.  La cuvée d'une ou deux heures de "travail" de mon fils (hier):

     

     

    "Papa" est très présent dans les dessins.  J'ai tenté de corrompre mon fils en lui apprenant "maman" mais rien y fait.  Cela reste "papa".

     

    Cela reste "papa", dans tous les sens... Mon livre de Tchoupi n'y a rien changé.  Il n'y a plus touché depuis la première fois.

     

     

     

    Papa ou les super-héros, deux mots interchangeables?

     

    Les vaisseaux spatiaux ne sont jamais loin non plus.

     

    Ces dessins avec les petits animaux en plastique datent de jeudi.

     

    Magnifiques dessins dont voici quelques détails

    Et parce qu'il ne fait pas que dessiner,
    voici une autre réalisations de son "travail":

     

     

     

     

     

     


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