• J'y serai en principe.  Et vous?

     


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  • Avez-vous vu le documentaire Alphabet? 

    Tout le monde m'en parlait.  De sorte que j'ai fini par aller à l'avant-première au Bozar, le lundi 15 septembre.  Mon impression?  J'ai perdu 11 euros.

    D'abord le film.  Très très décevant.  Lent...Noir...Je n'ai pas compris les choix des images, de la manière de filmer surtout sous forme d'interviews...Je n'ai pas compris l'angle d'attaque, la manière de présenter les faits. Je n'ai pas aimé.  Je n'ai pas aimé que la seule alternative à l'école noire et décriée soit l'exemple des Stern.  Quand on voit leur maison, quand on voit l'atelier d'André Stern, on a déjà compris comme il est facile de démonter ce cas singulier...Contrairement à ce que dit l'un des Stern, ce n'est facile de déscolariser un enfant, encore faut-il pouvoir ne pas travailler...

    Pourquoi ne pas avoir montrer d'autres initiatives d'école, voire même de déscolarisation, qui sortent des sentiers battus?

    Je n'ai visionné aucun autre documentaire de ce réalisateur.  A vrai dire, son nom ne me disait rien.  Certes, j'avais vaguement entendu le titre "We feed the world", mais je ne sais même pas de quoi cause ce film.  Le moins que l'on puisse conclure c'est que j'ai été extrêmement déçue par Alphabet.  J'avais imaginé un film qui associerait les idées de "Laissez les enfants tranquilles", et de "Ces écoles qui rendent nos enfants heureux" et du documentaire "Le paradigme de l'éducation".  Il aurait fallu creuser et approfondir la réflexion de ce dernier documentaire. 

    Ensuite...le débat...Cerise sur le gâteau...Le débat qui a suivi le film documentaire.  J'ai pris sur moi. J'ai voulu voir si la pauvreté des propos et de la réflexion s'enrichiraient au fur et à mesure du débat.  Du tout.  Fait rarissime: j'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté la salle avant la fin du débat. 

     


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  • Voici le fruit de quelques heures de chipotage aujourd'hui. Le hiboux que j'avais commencé en feutrine de laine ne m'emballait pas du tout.  Du coup, j'ai changé de technique pour la décoration de cette feutrine synthétique.  J'en ai assemblée 5 pièces afin de constituer une sorte de boîte.  Une dernière pièce au-dessus est censée être le couvercle mais le résultat n'est pas génial.

     

    La boîte est turquoise en fait, sauf ce côté photographié qui est vert du même ton que les armoires dans la chambre des enfants.  Je suis peu satisfaite du résultat.  Mais contente quand même car cela m'a permis de coudre avec ma machine, et de m'exercer pour les "broderies".


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  • Cela faisait longtemps que je n'avais plus consacré de temps à mon blog.  A la fin du mois d'août, j'ai plutôt profité de mes derniers moments de liberté en roue libre pour coudre et créer de mes mains (voy. les derniers billets que je viens de poster iciici et ici).

    Puis, ce fut la rentrée!

    D'abord pour notre princesse qui n'avait plus mis les pieds à la halte-garderie pendant 1 mois (la halte-garderie ferme un mois pendant l'été). Puis pour Fiston.  Heureusement, il avait pu découvrir sa nouvelle école EOS une première fois peu avant le 1er septembre, à l'occasion de travaux effectués sur place par mon homme.  Ce fut pour nous 4 une opportunité en or pour visiter les lieux.  Je dédierai un billet au sujet de l'école une prochaine fois, avec des photos :-).  

    Enfin, le 1er septembre marquait surtout MA rentrée.  Et quelle rentrée!  A peine arrivée, j'ai été confrontée avec brutalité à la dure réalité: dans le monde du travail, le / la salarié-e n'est qu'un pion que le / la patron-ne bouge à sa guise.  J'ai et je subis encore, une décision tombée de manière unilatérale et d'une violence inouïe.  J'ai été complètement abasourdie.

    Comme je refuse catégoriquement d'être "chosifiée", d'être considérée comme une chose, un meuble que l'on déplace sans ménagement, j'ai décidé de prendre les voiles.

     J'ai envisagé - et je continue encore à envisager - toutes les options: la démission, l'arrêt maladie, l'interruption de carrière, bébé 3 avec de l'avance.  Tout, du moins tout ce que ma tête a laissé affleuré à ma conscience. 

    Je n'en suis qu'au début de mon questionnement, questionnement que j'ai, jusqu'à présent, refusé de mener tellement je n'avais pas envie de m'aventurer loin dans ma réflexion. J'ai contacté des peurs terribles de manque et de dépendance.  La peur qui m'effraie le plus est cette dépendance financière au travail.  Je le savais.  Mais je fermais les yeux, tentais de me persuader que le travail me convenait.  Et c'est vrai, jusqu'à mon retour, je pouvais encore trouver des satisfactions à mes fonctions.  Du moins, en étouffant bien sagement certaines voix qui résonnent en moi, ou en-dehors de moi, loin de mon travail salarial.  Je pense à cette voix enthousiaste et fière des activités sans lien avec mon travail rémunéré (couture, plantes médicinales séchées, lecture sur l'éducation, l'écriture, Chant des Cailles, etc.).  Je pense également à cette voix intérieure qui s'élève devant les injustices et la violence au travail dont j'ai été témoin, puis dernièrement victime.  Injustices et violence qui m'ont conduite, entre autres facteurs, à prendre du recul avec mon environnement professionnel tant je ne les supportais plus. 

    J'ai été extrêmement naïve de croire que je pourrais reprendre le fil là où je l'avais laissé.  Il était évident que la reprise serait difficilement conciliable avec celle que je suis devenue.  La personne que je suis aujourd'hui a énormément évolué par rapport à celle qui a commencé dans mon travail salarié actuel.  Quand je me rends au travail, je ne peux que constater et souffrir de l'écart entre celle qui travaille et la citoyenne qui bouillonne d'idées et de révoltes.

    Avant de commencer ce travail, j'étais une jeune femme en couple.  Maintenant, quelques années plus tard, je suis devenue la mère de deux enfants.  Au début de mon activité dans ce boulot, je croyais encore à la croissance.  Je pensais que les chômeurs volontaires étaient des profiteurs et que les riches avaient le droit de l'être.  Mes idées ont bien évolué depuis...

    Donc, contre toute attente, et malgré ma voix critique vis-à-vis de cette profession devenue si tendance (Renata Salecl a mis des mots sur mon malaise), et malgré ma réticence de dépenser une somme exagérée pour une heure (100 euros) au moment-même où je cherche à restreindre mes dépenses pour pouvoir envisager de laisser tomber mon travail rémunéré, j'ai quand même fini par prendre rendez-vous avec une coach afin qu'elle m'aide à m'extirper de mon bocal où je tourne en rond depuis 2 ans maintenant.  J'ai beau critiquer...à un moment, quand le bocal commence à donner le tournis et surtout à nous enfermer mentalement, il est salutaire, du moins, est-ce mon point de vue, de chercher de l'aide pour trouver une autre manière de tourner en rond, ou mieux,  de trouver un autre cadre...ou, encore mieux, de trouver le chemin vers l'océan...

     

     


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  • La rentrée oblige...dans une école Steiner...Je me suis collée au même exercice que l'année passée, à  savoir la confection d'un "plastiekbroek" ou pantalon imperméable.  Alors que je comptais le coudre suffisamment grand, j'ai, comme l'année passée, sous-estimé les mesures. Il est assez juste pour mon fils.  Voyez par vous-même.

    Le pantalon est en tissu imperméable (acheté au Chien V*r*)

    Fiston accepte de jouer les mannequins pour la photo...à sa façon.

    Et histoire de pouvoir tenir sur un crochet, le pantalon est pourvu d'une lichette (c'est ainsi qu'on appelle ce truc qui permet de pendre les vêtements?)


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  • A côté des mobiles, j'ai aussi confectionné d'autres petits ouvrages. 

    Une guirlande multi-colore de +/- 4 mètres.  Cousu fin du mois d'août en prévision de l'anniversaire de mon grand (5 ans déjà, le bougre!).   Très facile à coudre.  Avec un biais tout fait. Un de mes prochains défis consiste à confectionner moi-même les biais.

    Ici, à la verticale, une guirlande de cercles, aussi archi-simple à faire.

    J'ai également cousu une trousse pour les pastels de Fiston (pastels, l'outil de dessin typiquement "steinerien"). 

    J'adore le résultat de cette broderie

    De l'autre côté, l'arbre est tristounet.

    De ce côté-ci, cela donne ça.

     

     


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  • Ces derniers temps, je me suis amusée avec la feutrine en laine...Les commandes se sont succédé.  D'abord un cadeau de naissance que mon amie Aurore a offert à un petit Merlin.  Voici les oiseaux prêts à être montés sur la hanse de sac en bambou dont je me sers d'habitude pour mes mobiles. 

     

    Monté, cela donne cela:

      Ensuite, j'ai enchaîné avec un mobile de chouettes.  Voici mes essais sur papier.

    En feutrine de laine, rembourrées de balles d'épeautre, sur un énorme tambour à broder, les chouettes prennent forme ainsi :

     

    Une copine m'a signalé que vu la taille de certaines de mes étoiles, ma lune devait être plus grande.  J'ai donc rectifié pour le 2ème mobile de chouettes.  Je viens de le finir.  Il est pour le petit  bébé d'une amie d'Aline. 

     J'ai déjà une commande d'un mobile de chouettes pour ma filleule...

    Mais, pour le moment, je prépare une boîte ornée d'une grande chouette en feutrine de laine.  Les photos suivront quand le projet sera concrétisé. happy

     

     

     

     

     


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  • Parce que chaque famille est différente...pour aborder l'homosexualité...A quand un livre qui intègre l'homosexualité, au lieu d'un livre SUR l'homosexualité (idem pour tous les sujets)?

     

     


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