• En février, j'apprenais l'existence de la juriste et universitaire française Marcela IACUB.  Ce fut une révélation.  J'ai dévoré son livre Le crime était presque sexuel et autres essais de casuistique juridique, Paris, Epel, 2002, au mois d'avril.

    Marcela Iacub...a un ton bien à elle pour dire les choses.  Et il y aurait beaucoup à dire sur ce qu'elle dit...

    Je suis souvent pas d'accord avec elle. Parfois si. Mais j'apprends beaucoup. Parfois, elle se fourvoie.

    Quand elle dit dans "la loi du ventre" que la paternité biologique peut être faite par une simple déclaration, elle se fourvoie. La paternité présumée (du mari), la paternité déclarée n'est pas la paternité biologique. En cela, il y a bien différence de traitement.

    Si la paternité léqale est source de droit (autorité parentale - pension), la paternité biologique (et non légale) est également source de droits, éventuellement, ET de devoirs, éventuellement.

    Et dire que dans une action de reconnaissance ou de contestation de paternité, le père ne peut pas demander des tests génétiques pour attester ou infirmer le lien biologique...c'est que c'est bien différent en France qu'en Belgique.

    Il y a à plusieurs endroits des raisonnements et des assertions qui me chiffonnent dans les écrits de Iacub, mais je trouve ses écrits intéressants et nécessaires d'être pour nous obliger à remettre en cause ce que l'on croit comme "normal".  En tout cas, il est clair que Marcela Iacub mérite qu'on s'intéresse à elle. 


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  • Refuser...Réduire...Bon, ma fille n'en avait pas besoin. J'ai quand même succombé à la tentation de lui en coudre un...Un pantalon cousu avec amour à partir d'un de ses pantalons (en réalité, un qu'elle a hérité de son frère).  Ce fut mon atelier de lundi, mon dernier jour de congé.

    Les photos sont parfois floues, comme d'hab'.

     

    J'ai soigné mes coutures...Je commence à prendre plaisir à soigner les coutures intérieures...et non de coudre à l'arrach, comme on dit.  Les coutures de l'entrejambe coïncident (ok, pas à 100 %, mais ce n'est déjà pas mal).

    Les bas sont munis d'élastique.

    Au verso, cela donne cela:

     

    Je regrette de ne pas avoir ajouté une bande d'un autre tissu, comme j'ai fait à la ceinture:

    Bon, là, je vous ai montré une grosse imperfection.  Les coutures ne coïncident pas.  A revoir la prochaine pour que cela ne se produise plus.

    Bon, oui, je commence à soigner les coutures intérieures.  Mais, ce n'est toujours pas impeccable. La prochaine fois, cela vaudrait la peine d'en coudre un réversible (j'avais déjà tenté un vêtement réversible ici, c'est jouable).

     Dès que ma fille y consent, j'organise une séance photo avec modèle vivant.he


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  • Le plastique, le jetable, ce sont 2 fléaux que j'évite autant que possible. Pas assez à mon goût certes.

    Dernièrement, j'avais vu des tuto, surtout celui de Mamzelle Emie pour faire son emballage en coton ciré, histoire de remplacer le cellophane, en Belgique on dit du film plastique.  Je voulais le faire aussi.  Même si, dans l'absolu, je n'ai plus de cellophane à la maison depuis belles lurettes. Mais, bon, il m'arrive encore de revenir avec du film plastique de magasins ou autres cafés (où j'achète surtout une part de tarte au chocolat  he - pas encore trouvé de solution d'appoint pour cet en-cas.  Il faudrait que je me promène constamment avec une boîte vide sur moi...Mon sac commencerait à être volumineux: mon thermos ne me quitte pas; j'ai envie aussi que mon mug - encore à acheter - soit constamment avec moi, etc. etc.).  Du coup, j'en ai commandé (ici), et surtout, j'ai tenté la recette.  2 fois par semaine, j'achète un sandwich dans un snack. C'est pour emballer le sandwich que je souhaite une solution lavable (le mieux, évidemment, serait que je cesse d'acheter un sandwich, mais ils sont bons avec le pain fait maison; même si je prends systématiquement le jambon de parme, et donc de la viande, je ne suis pas encore tout à fait prête à abandonner cette habitude barbare.  Pardonnez-moi.  Amen).  Remarque: les autres jours, je ramène de quoi luncher de la maison (ce sont, ces jours-là, des jours sans déchet, du moins au bureau). 

    Résultat: j'ai mis trop de cire.  Cela ne donne pas bien du tout.  A refaire, je mettrais la moitié moins de cire.  Quelques photos de mon désastre.

    Il faut: du coton (pour ma part, comme c'est pour l'alimentaire, j'ai pris du coton bio)

    de la cire d'abeille de qualité:

     

    A défaut d'aluminium (je n'en ai plus à la maison depuis longtemps), j'ai utilisé du papier de cuisson déjà usagé (je le réutilisais à l'époque où j'en utilisais; depuis longtemps maintenant, je mets du beurre pour éviter que les gâteaux et tartes ne collent).  Le papier de cuisson permet de protéger le lèche-four.

    Ici, sur la photo, on peut voir comme j'ai vraiment inondé le tissu de cire.  C'est trop.  Au moins 2 fois trop.  Je n'ai même pas osé prendre de photos du résultat...C'est ciré, ça, c'est le moins que je puisse dire.  En plus, j'ai laissé le tissu refroidir dans le four...parce que je cousais.  Bref, je n'ai pas assuré.  Du coup, ma 1ère tentative n'est pas du tout concluante.

    ***

    Remarquez que j'aurais davantage besoin, du moins, tout aussi besoin, de sac en toile ciré pour contenir des choses mouillées, comme les maillots et essuies mouillés.  Il y a des années, avant que je ne couse et ne songe même à acheter une machine à coudre, j'avais flashé sur le tapis-sac à piscine.  D'autres modèles ici et ici (la vache Kikou). La Vache Kikou l'a d'ailleurs décliné pour les Kaplas. J'adore.

     


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  • Au détour de La Mare aux mots, je découvre deux livres que je lirais bien aux enfants:

    Ma maman est comme ça

     

    Et

    Mon papa est comme ça

     


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  • Il y a un an peut-être, j'avais longuement flâné au Rat conteur (librairie A livre ouvert).  J'avais déniché une série de livres que j'aurais voulu lire!  Ce jour-là, soit je me suis abstenue de tout achat (improbable), soit, plus probablement, je me suis contentée d'un livre ou deux. 

    Dernièrement, disons, il y a un mois ou deux, j'y suis retournée.  J'ai craqué.  J'ai acheté le dernier un des derniers bouquins de Nicolas Guéguen.  Alors, je vous explique.  Nicolas Guéguen, c'est un auteur (un universitaire psychologue) que j'ai découvert il y a des années via son livre 100 petites expériences en psychologie du consommateur:

    Après la lecture de ce livre, j'ai écumé son site internet où il met à disposition de nombreuses publications!  A lire!  Ici, toutes ces publications chez Dunod.

    Il écrit de manière tout à fait accessible sur des sujets qui me passionnent, notamment la manière dont les consommateurs et consommatrices sont influencé-es. 

    Le livre que je suis en cours de lecture s'intéresse à Milgram, à l'autorité et à la soumission.  Un autre sujet qui me passionne tout autant.  Autant être claire, j'adore ce bouquin.  Il mérite un court comte-rendu.

     

     

     


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  • En juillet, j'ai terminé la lecture de Sorcières, sages-femmes et infirmières de Barbara EHRENREICH & Deirdre ENGLISH, aux éditions Cambourakis, réédition de 2014 pour la traduction française. 

    Il s'agit d'un classique de la littérature féministe.  Je ne regrette pas cette lecture pour enrichir mes connaissances sur el féminisme.  Toutefois, pour être honnête, il ne m'a pas transportée de joie.

     

     


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  •  

    En juin dernier, j'ai pu choisir un cadeau de naissance collectif de l'ensemble des parents et des jardinières pour Anne-Bénédicte et David.  Mon dévolu s'est fixé sur: un massage watsu en couple au Centre Libellule, recommandé par mon amie et ancienne sage-femme Aline.  La somme récoltée permettait, en sus, à côté d'un bon pour un baby-sitting, l'achat d'un jouet.  J'ai choisi le double arc-en-ciel Grimms.

    Et, je n'ai pas pu résister. Pour l'anniversaire de ma fille, j'ai craqué.   (oui oui, je m'étais promis de ne plus acheter de jouets. Mais, je craque pour cette marque. J'ai découvert le potentiel des arc-en-ciels en en manipulant un petit chez des ami-es)  Voici les différentes manières de jouer avec ce jouet.  J'adore cette marque.  J'ai toute de même été déçue car la vendeuse où je l'ai acheté m'assurait que tout était fait en Allemagne, sans sous-traitance.  Or, une étiquette sous le jouet indique qu'il a été fabriqué en Bosnie...

    7 août '15 - Un été à la maison

     

    7 août '15 - Un été à la maison

    Ci-dessous, pour des billes

    7 août '15 - Un été à la maison

     


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  • Cet été est le premier où nous travaillons tou-t-es les 2 à temps plein depuis que mon grand est rentré à l'école.  Et ma foi, on s'est bien débrouillé, grâce aux grands-parents; et à mes 3 semaines de congé, dont une sans solde.

    Cet été, de nouveau, nous ne sommes pas parti-es.  Certes, nous avons découché ensemble, les enfants et moi, 2 nuits pour un trop bref séjour à la mer.   A propos des personnes qui ne partent pas de chez elles pour les vacances, voir ici et ici.

    Le reste du temps, les vacances à la maison, cela ressemble à des après-midi au parc avec "Lire dans les parcs". 

     

    D'autres après-midis à la plaine de jeux

    soit du Parc Seny

    8 août '15 - Un été à la maison

     

    soit de la Place Wiener pour manger une glace au Capoue, un glacier qui fournit des glaces sans lait, et surtout, pour mon fils, sans oeuf (il est intolérant aux oeufs).

    Parfois, la synchronicité entre frère et sœur est étonnante.

    D'autres fois, l'une s'active dans sa tenue la plus courante, à savoir en culotte et sans chaussure; tandis que l'autre se prélasse (en arrière plan, sur la pelouse, fiston est complètement étendu).

    Certain-es ont terminé leur glace quand d'autres la commencent.  Ici, Kaïs, le grand copain de ma fille, qui, comme mes enfants, est moitié cambodgien.

    A côté des plaines de jeux proprement dites, il y a les autres endroits ludiques, comme la Place Flagey et ses jets d'eau:

    8 août '15 - Un été à la maison

    8 août '15 - Un été à la maison

    Il y a aussi les stages, et les jolies créations que les enfants y réalisent.

    Ici, le stage de Sylvie qui vient de se dérouler.  La semaine prochaine, c'est au tour de ma fille d'en profiter.

    8 août '15 - Un été à la maison

    Cette œuvre m'a tout de suite tapé dans l’œil. Il s'agit de celle de Nelson que vous apprendrez à connaître sur le blog de sa maman, Anaïs.

    8 août '15 - Un été à la maison

     Les 3 premiers jours de juillet, et la dernière semaine d'août, les enfants ont fréquenté et iront au stage de multi-sports qui se déroule à l'Autre Ecole.  Fiston y va depuis l'été dernier.  Et ma fille y a été la première fois à Pâques.  De manière générale, là où va son frère, elle va avec plaisir.

    Les vacances à la maison, c'est prendre son temps à :

    cuisiner

    8 août '15 - Un été à la maison

     

    et toujours jouer.
    Ici, dans un tipi cousu par un cousin de mon homme, avec une vieille Singer dénichée en seconde main, la vieille Singer étant une marque capable de coudre de la toile, matière première pour la confection d'un vrai tipi (prochaine étape de l'auteur de ce tipi enfants):

    8 août '15 - Un été à la maison

     

    On profite du jardin

    8 août '15 - Un été à la maison

     

    On profite de la rue et on regarde les passant-es:

    8 août '15 - Un été à la maison

    Tout en se déguisant

    8 août '15 - Un été à la maison

     

     Et comme le reste de l'année, il y aussi le travail très sérieux:

    8 août '15 - Un été à la maison

    ***

    éguis


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