• 12 mai '13 - Champ des Cailles le 12 mai

    Aujourd'hui, jour de plantation des patates dans la parcelle collective - collective dans le sens où elle "est à" tout le monde.  L'arrivée est toujours un plaisir.

     

    Au loin, derrière l'épouvantail, on voit un groupe attelé à la plantation des patates.

    Vue sur la partie consacrée aux moutons.  Les boutons d'or illuminent l'étendue verte.

    Et voici les travailleurs!

    L'idéal est de retirer les chiendents, dont voici les racines:

    Voici la rangée où je vais déposer les patates, à 40 cm d'intervalle chacune:

    La même tranchée, les patates installées:

    "yapluska" les enterrer.

    On continue à retourner la terre avec la grelinette:

    Derrière la grelinette, certains s'activent à récupérer le fumier déposé par erreur sur cette parcelle:

    A côté, cette petite fille semble très affairée:

     

     

    On jardine et...on bricole aussi au champ.  La clôture a été déplacée la semaine dernière.  Elle est aujourd'hui fignolée.  Le déplacement de cette clôture répond à une demande des riverains, en particulier de la riveraine qui souhaitait accéder aux groseillers qu'elle a plantés. 

    On assiste ici la différence tangible et notoire entre le droit et la réalité.  Les riverains directs du champ, qui appartient à la coopérative de la cité-jardin, n'ont aucun droit, aucun, sur ce champ.  Ce dernier relève de la propriété de la coopérative. 

    Toutefois, après quelques années de non utilisation, certains riverains directs se sont appropriés une parcelle du terrain, y installant qui leur jardin potager, qui des arbustes fruitiers.  Ces personnes ne détiennent aucun droit sur ces terres.  Le directeur de la coopérative l'a bien répété en réunion.  Il n'empêche, ces riverains bénéficient d'un traitement de faveur. On appelle leur parcelle les parcelles historiques.  Alors qu'il a été décidé qu'aucune parcelle sur le terrain n'est individuelle, il existe l'une ou l'autre exception : les parcelles historiques.

    La plupart de celles-ci sont intégrées au champ, de sorte qu'elles figurent dans la partie clôturée (pour rendre les terrains inacessibles aux chiens, par exemple). 

    Cependant, quelques voix se sont élevées pour sortir les framboisiers (pas les framboises jaunes dont je parlais dans un post précédent).  Une nouvelle clôture a donc été posée.

    On le voit bien ici, les framboisiers sont au-delà de la clôture qui délimite le champ.

    Voici une ou des parcelles historiques qui, elles, sont très bien intégrées au champ:

    L'heure du départ approche.  Nous partons, et filons rechercher ma fille chez mes parents où elle se faisait chouchouter quelques heures.

    Sur le chemin du retour, vue sur l'hôtel des insectes à l'envers:

     

     

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