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2 mars '14 - Les plantes sauvages comestibles et médicinales, un savoir à ressusciter
Je viens de terminer la lecture de "Génération végétale". Ce livre parle de la cueillette de plantes sauvages. Il y est également souvent fait mention de la permaculture. Ce mot, je le vois, je l'entends à toutes les sauces. J'ai peu lu sur le sujet pourtant. Avec ce livre, j'ai envie de me pencher sur la philosophie et les applications pratiques de la permaculture.
Dans la même idées, je crois que cela va devenir un des objectifs futurs: mieux connaître les plantes qui poussent dans mon entourage, connaître leurs propriétés et comment en prendre soin.Plantes sauvages, l'abondance qui nous entoure from Olivier Asselin on Vimeo.
Ne plus rien acheter de neuf, c'est aussi notre philosophie chez nous. Je ne mets plus vraiment les pieds dans les magasins. Et moins je les fréquente et moins j'ai envie d'y aller (à part les librairies).
Cela fait bien six mois que je n'ai plus foulé le sol d'un supermarché (cet été, à la mer, j'y suis allée, afin de compléter mes courses de produits introuvables dans le magasin bio du Coq; et, allez, en août, j'ai tenté d'y acheter des pots de glace sans colorant). Mon homme a également oublié la case supermarché. Certes, disons, tous les 2-3 mois, il y va pour nous dépanner et acheter les 2-3 produits que nous achetons exclusivement en grande surface. Il me disais dernièrement que c'était un des grands changements de notre quotidien, ce boycott des supermarchés. La liste de ce qu'on y achète est très réduite. On remplace par les produits faits maison, ou ceux de marques bio. Pour l'instant, il y a deux produits que les grandes surfaces nous fournissent: le vinaigre d'alcool que l'on achète en quantité pour le ménage et la cuisine (quand on n'a plus de citron) et la moutarde Am°ra car on a essayé les différents équivalents bio mais ils ne trouvent pas grâce aux yeux de mon homme, la prochaine étape est de tenter de le fabriquer, comme le vinaigre...(nous cherchons un vinaigrier).
Pour l'instant, à la maison, j'applique l'adage, "nécessité fait loi". J'ai tellement peu envie de me rendre dans un magasin que je ne renouvelle plus le stock. Du coup, il faut faire avec ce qu'on a. Les couches? On a ressorti les lavables, bien que nous utiliserons encore des jetables, ne serait-ce que pour la halte-garderie et pour la nuit. Le dentifrice? Après mes deux dentifrices faits-maison, dont le dernier était un ratage intégral, j'avais abandonné, faute de bicarbonate de calcium sous la main (et la non-envie de me rendre en ville uniquement pour cela). Les cotons-tiges? Nous avons à la maison des cure-oreilles que j'avais achetés il y a des années en pharmacie (mais, j'ai lu depuis qu'une simple pince à cheveux, style pour les chignons pouvait très bien faire l'affaire ou un tire-comédon. Voir ici, une discussion sur les alternatives au coton-tige).
Ahhh, cela m'éloigne du sujet principal de cet article, à savoir les plantes sauvages...Mais, comme on le voit dans la vidéo, tout est lié.
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Tags : autonomie alimentaire, auto-suffisance, autonomie, cueillette sauvage, glanage
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