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28 juillet '14 - Un vélo électrique pour se détacher de la voiture
Ca y est! Nous avons franchi le pas, et avons puisé dans nos économies pour effectué cet achat tant fantasmé: mon vélo électrique. Notre but vise clairement à nous passer de voiture. Vu le prix de ce vélo, il équivaut à 2 années de 2 pleins par mois. Si on compte les assurances et entretiens techniques, l'amortissement est plus rapide.
Notre voiture, nous l'avons achetée à 4, mes parents et nous. Nous n'envisageons pas de la vendre. Cela rassure mes parents qu'une voiture soit en tout à temps à disposition, même si ce n'est pas directement à la leur puisqu'ils doivent quand même emprunter la route en tram pendant 30 minutes pour venir la chercher s'ils en ont besoin.
Il ne s'agit donc pas d'une voiture qui disparaîtra de nos rues. Mais son usage sera très exceptionnel.
Pourquoi un vélo électrique? Parce que je n'aime pas rouler à vélo. Que chez moi, cela monte et cela descend. Que je ne m'imagine pas rouler avec une remorque chargée avec 2 enfants sans assistance électrique. Parce que cela nous a paru le bon compromis pour que je roule à vélo plutôt que d'être découragée par l'effort, qui est loin d'être nul avec l'électrique (j'utilise assez peu l'assistance en fait).C'est tout nouveau. Cela date de la semaine dernière. J'espère vraiment que nous pourrons relever notre pari de nous passer de voiture au quotidien (cela est plus que réaliste vu que notre fils ne fréquentera plus l'école de Tervueren).
Le lendemain de notre achat, j'effectue un essai avec ma fille sur le dos pour un trajet à 4 chez mes parents (route sécurisée sur l'allée verte ou piste cyclable tout le long). Sur le dos, il paraît que je suis moins déséquilibrée par le poids de ma fille. Puis, surtout, nous ne disposons pas encore de 2ème siège ni de remorque.Un casque? A envisager, en connaissance de cause. J'étais farouchement favorable à ce que mon homme porte un casque. Jusqu'à lire un article dans S!lence qui explique, entre plein d'arguments, que le port du casque ne réduit pas de manière significative le nombre de blessés tout en augmentant le sentiment d'insécurité. Or, ce n'est pas de rouler en vélo qui est dangereux mais les voitures qui roulent qui rendent le cycliste plus vulnérable. Le danger n'est pas le vélo mais la voiture.
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Tags : mobilité, vélo, cycliste, casque, voiture
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