• Questionnaire publique du parlement européen sur votre alimentation et la politique agricole. Faites-vous entendre! [ pensez à l'action juridique devant la Cour de Justice de l'Union européenne contre Kokopelli]


    De l'agriculteur au consommateur, quelle politique agricole et alimentaire commune?

     
     

    Depuis le début du 21e siècle, l'Europe traverse une période de profonds changements.

    Un des enjeux vitaux concerne l'agriculture et les zones rurales, ainsi que la relation entre agriculteurs et consommateurs. C'est le domaine de ce qu'on appelle la politique agricole commune de l'Union européenne (ou PAC).

    À l'heure où vous lisez ces lignes, la réforme de la PAC est en cours et le Parlement européen, via un long processus démocratique, prépare sa réponse définitive.

    Nous vous invitons à prendre part à ce processus de démocratie participative en répondant à ce questionnaire.
    Nous comptons sur votre participation.


    Mme Isabelle DURANT
    Vice-présidente du Parlement européen
    AGORA (Conférence des citoyens)

     

    Le questionnaire, c'est ici.


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  • Laurence, de la Maison des Potentiels, a lancé une série web sur Luckas à l'école. Le projet de l'instruction à domicile à la Maison des Potentiels ne démarre pas.  Son fils a émis le souhait de rentrer à l'école. 

    J'ai regardé deux vidéos.  Dont celle-ci que je partage: Notre rentrée

    J'ai bien aimé car j'aurais pu aussi partager mon article sur la rentrée de mon gamin en deux: sa rentrée et la mienne. 

    Sa rentrée des classes est très douloureuse pour moi, car mon image et mes souvenirs de l'école sont très très négatifs.  C'est donc avec beaucoup d'émotions que je me sens contrainte de replonger sur le terrain scolaire...


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  • Brocante

    Bourses

    Brocante aux vêtements pour enfants et matériel de puériculture

    Le groupe local de la Ligue des familles de Watermael-Boitsfort organise une brocante aux vêtements et matériel de puériculture le samedi 6 octobre.

    Installation des vendeurs à partir de 13h30

    Groupe local de Watermael - Boitsfort

    Le samedi 6 octobre de 14h30 à 17h30

    Vente: Le samedi 6 octobre de 14h30 à 17h30

    Lieu

    Restaurant scolaire de Boitsfort
    (à côté de l'Académie de musique)
    Avenue du Ramier, 1
    1170 Bruxelles
    Bus 95/Tram 94/Métro 10 min

    Contact

    Inscriptions pour les membres: lundi 17 septembre de 10 à 12h et jeudi 20 septembre de 17 à 20h

    Inscriptions pour les non-membres: lundi 24 septembre de 10 à 12h et jeudi 27 septembre de 17 à 20h

    Contact: 0478/730 514

    Avantages

    Membres: 6,5 €

    Non-membres: 8,5 €

    Tout public

    source: Le site de la Ligue des familles


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  • Le mardi 18 septembre à 19 heures aux écuries de Boitsfort une projection du film Vélotopia aura lieu. Il sera suivi d'un débat : “La mobilité à Bruxelles : le rêve des bruxellois”.  
     
     

    La fin du monde est proche, crises des matières premières, crises financières, crises politiques, crises sociales. Mais la solution est là sous nos yeux !!! Fun, glamour, sexy... Le vélo, pour sauver l'humanité !!!!
    Vélotopia, un docu-comédie sur les bienfaits du vélo comme moyen de transport.
    Attention : recommandé aux conducteurs de 4x4.
    Une soirée proposée par Nature et Progrès Bruxelles, en collaboration avec le Gracq de Boitsfort
     

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  • "Certains sont choqués d'apprendre qu'on va mettre notre enfant dans une école classique, comme si le fait que l'on mange bio, que l'on ne vaccine pas le petit, etc., impliquait automatiquement une école à pédagogie alternative". 

    J'avoue, j'avais moi-même été choquée et peu enthousiaste quand cette maman m'apprit qu'elle mettrait son enfant dans l'école du coin, à 5 minutes à pied de sa maison.  Je me rappelle avoir pensé que pour nous, quoi qu'il nous en coûterait, notre fils irait dans une école alternative.  A l'époque, mon gamin allait sur ses deux ans, ET était fils unique.  Un an plus tard, cette phrase me revient souvent...

    En particulier, aujourd'hui, jour de la 1ère rentrée de mon fils.  J'y ai pensé 10 000 fois...Lorsque mon fils refusa de lâcher ma main pour me laisser partir ce matin, lorsqu'il me supplia de rester ou de le prendre.  Je n'ai pu réprimer mes larmes.  Ce fut une véritable épreuve.

    Le choix de l'école a fait l'objet d'âpres et houleuses discussions à la maison.  Pour des raisons idéologiques, et également pratiques, j'ai renoncé à forcer/tenter l'inscription de mon enfant dans une école à pédagogie alternative.  L'école Steiner de Tervueren (trop loin, enseignement en néerlandais), l'Autre Ecole ou l'école Saint-Joseph...Balayées...pour l'école communale du coin, à cinq minutes à pied de la maison.

    Cinq minutes à pied, c'est le pied pour s'y rendre!  Chaque fois que je parcours ce chemin, je me le répète.  La proximité est le principal point fort de l'école choisie, avec ce que cela signifie en terme de copains habitant dans le coin. Le second atout est le cadre.  Il est magnifique.  Verdure, plaine de jeux sur du sable, un coin tranquille, un bout de campagne, des airs d'école du village.  Elle est petite, ne reçoit que les maternelles, donc, les enfants de 2 ans et demi à 5-6 ans.  C'est clairement une école de quartier. 

    Nous l'avons préférée à une autre école, située sur le trajet pour se rendre à pied au métro (station située à 7 minutes de la maison).  Cette dernière offre un environnement peu plaisant, avec une porte à front de rue.  Puis, surtout, je m'y étais baladée lors de sa fancy-fair, il y a un an. J'avais tout simplement été effarée.  Le thème de l'année avait été : la TV.  Bon, ok, on peut faire de l'éducation aux médias.  Mais là, ce n'était pas le cas.  Quand j'y pense, je suis indignée...au souvenir de ces banderoles et dessins d'enfant des logos des chaînes de télévision.  Les enfants avaient consacré des heures de cours pour dessiner et colorier des logos de chaînes de tv !  Hallucinant!  Ce simple constat m'avait convaincue de la non-pertinence de cette école.

    Nous avons donc privilégié l'autre petit établissement tout tout proche de chez nous.  Cette école est reliée à une autre (on dit que l'école jouit de deux implantations). L'autre implantation a meilleure presse parmi les parents "alternatifs" (des enfants ayant fréquenté la crèche où Petit Prince s'est épanoui pendant 10 mois).  Pas très loin mais suffisamment pour que le trajet jusque là doive se faire en vélo...Or, pour une école dont la pédagogie ne nous correspond pas, nous n'étions pas prêts à consentir à cet effort.

    Mais, mon dieu, ce matin...!  Je n'en menais pas large.  J'ai haï le système scolaire.  J'ai haï de ne pas avoir inscrit mon enfant dans une école comme celle de Steiner à Tervueren, avec des institutrices dont j'avais une certaine assurance qu'elles avaient réfléchi à la manière de concevoir l'école et leur rôle...J'ai détesté cette maîtresse qui a appelé mon fils "chouchou", qui lui disait "chhhh" parce qu'il pleurait...la même qui, je l'apprendrai au moment de reprendre mon enfant, a donné le dessert que recevaient ceux qui avaient le repas chaud servi par l'école, parce que mon fils en voulait un, alors qu'une des raisons pour lesquelles j'ai délibérément exclu les repas chauds concerne les desserts.  Quelle aberration que de servir un dessert à chaque repas. Pas mieux pour rendre les petits accros au sucre que de leur servir un sucré à la fin de chaque repas (voy. Gavés de sucre de Cash Investigation, une émission qui me réconcilie un petit peu avec la TV).  Je vais donc avoir du mal avec cette institutrice-là (elles sont deux en classe pour une quinzaine d'enfants)...

    Soyons clairs, ce n'est pas le fait que mon enfant pleure qui me causait problème, c'est de le savoir avec des personnes dont je doutais de la capacité à accueillir ces pleurs...J'ignore si ces personnes connaissent Filliozat ou Dolto (pour ne citer que les plus connues). J'ignore comment elles pensent la discipline.  Si elles crient sur les enfants, si elles exigent le silence, si elles exigent l'immobilisme sur une chaise. 

    Comment vont-elles réagir devant mon fils, particulièrement bavard?  Lorsque j'étais en troisième maternelle, l'institutrice relevait mon bavardage en disant qu'elle me couperait bien la langue, tellement celle-ci était longue.  Elle ne m'a jamais punie en raison de ma volubilité.  Jamais sur toute l'année.  La seule mise au coin que j'ai subie pendant mon enfance vient de l'institutrice qui fut chargée de s'occuper des élèves de ma maîtresse, un demi-jour d'absence de cette dernière.  Cette dame ne m'a eue dans sa classe qu'une matinée.  En ce laps de temps relativement réduit, elle m'a administrée le seule mise au coin de ma vie.  Inutile de préciser qu'il s'agit là d'un mauvais souvenir qui renforce ma défiance vis-à-vis de l'école.  D'où cette question: si mon fils est aussi bavard en classe qu'il l'est dans la vie, comment vont réagir ses institutrices (car parfois, son flot de paroles continu est "extrêmement fatigant", et ceci est une formulation polie)?

    Devant mon air contrit, mon homme m'a proposé de retourner à l'école, incognito, pour observer notre petit bout, à son insu.  Comme j'avais oublié la peluche que Fiston appelle Doudou (et qui porte bien son nom quand mon petit dort autre part que chez lui ou chez ses grands-parents), ce fut une excuse toute trouvée pour ma tendre moitié d'enfourcher son vélo à destination de la classe de notre progéniture.  Il y a échangé quelques mots avec une des deux instit', a observé notre enfant qui courait dans un coin de la pièce.  "Il explore les lieux", dixit la maîtresse.  Il paraît que les larmes n'ont pas duré. 

    Ce soir, je suis plus apaisée.  Une des manières de me consoler (outre le fait que mon fils, à la fin de l'école, semblait content) est de me répéter que l'instruction n'est pas obligatoire avant 6 ans (j'écris bien "instruction" car l'école n'est jamais obligatoire, c'est l'instruction qui l'est).

    On verra demain.  Il paraît que le plus dur est le deuxième jour.  Sans doute parce que les enfants réalisent que ce n'est pas une blague, l'école, mais bien une nouveauté amenée à s'installer.

    A suivre donc.

    Et vous, votre rentrée la première rentrée de votre enfant, elle était comment? 

     

     




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