Je tenterai ce bricolage prochainement, histoire de ne pas achter une boîte dans le commerce.

La même jardinière qui m'a refilé la recette de dentifrice m'a, le jour de l'inauguration de la givebox, conduite, avec une autre jardinière, vers un robinier ou faux acacia.

J'en ai cueilli les fleurs pour en préparer un sirop:

Je n'ai plus les proportions exactes.

Voici la recette:

Dans un litre d'eau chaude, ajoutez le jus de 2 citrons pressés + du zeste + la pelure de citron coupée en 2 (citrons non traités, évidemment).  Y faire macérer les FLEURS de robinier (sans les tiges) 24h.

Après 24 heures, portez à ébullition, y ajouter du sucre (on dit que pour 1l, il faut 1kg de sucre). Moi, je n'ai pas mis de sucre mais du sirop d'agave.

Ensuite, filtrez avec une serviette propre:

Mettre en bouteille.  Cela se conserve un mois après ouverture.  Mais, mon sirop n'a pas tenu 3 semaines.  Tout est parti

Le sucre, je l'ai appris plus tard, sert également pour la conservation, donc si le sirop doit être conservé, c'est peut-être plus approprié d'utiliser du sucre.

Quand j'en referai l'année prochaine (le temps de floraison est court, c'est une recette que l'on ne peut faire que durant quelques jours par an), je mettrai moins de jus de citron, moins de sirop d'agave également.

Excellent avec du jus de gingembre et de l'eau pétillante!  Boisson rafraîchissante, saine et économique!

Cela fait bien 2 semaines que nous utilisons exclusivement le dentifrice fait maison, préparé à ma sauce à partir de la recette que je partageais ici.

Les produits indispensables sont:

- de l'argile (blanche) chez moi

- du carbonate de CALCIUM (pas confondre avec le bicarbonate de sodium)

-du bicarbonate de sodium ( en plus petite quantité - pour les quantités, voy. la recette dont je parle ici, moi, j'ai fait au pif comme on dit chez nous - explications plus bas)

- de l'huile végétale

Voici une photo des principaux ingrédients et ustensile.  J'ai foiré J'ai été négligente (je n'avais pas encore acheté le petit livre sur l'argile) j'ai utilisé une cuillère en métal (ce qui est déconseillé avec l'argile, privilégiez le bois ou, au pire, le plastique). 

Je n'avais pas de macérat de calendula, j'ai utilisé le macérat de millepertuis donné par la jardinière du Chant des Cailles qui m'a refilé la recette de ce dentifrice en même temps que du carbonate de calcium et le macérat.

J'avais pesé le bicarbonate et le carbonate ainsi que l'argile dans un pot en plastique. 

Puis, me suis plantée au moment de verser mon infusion de sauge.  La sauge dans notre jardin ressemble à ça:

J'ai versé l'infusion, non dans le récipient en plastique avec les ingrédients dosés, mais dans la boîte en verre que la jardinière m'avait donnée

Du coup, ma pâte à dentifrice trône dans un tel pot (pour la photo, le pot est sur le petit magasin enfant chiné en brocante)

J'ai ensuite ajouté des HE dont je disposais à la maison:
citron, eucalyptus radiée, ravinstara, tea tree + quelques gouttes d'extrait de pépin de pamplemousse.

Mon appréciation: géniale!  On utilise cette pâte dorénavent.  Une de mes préoccupations futures: chercher où acheter le carbonate de calcium!

***

J'ai des soucis de shampooing.  Voici la recette d'une de mes amies.  Je ne l'ai pas encore essayée.  Par contre, j'ai tenté vendredi dernier le mélange: rhassoul avec infusion de sauge, et j'en suis plus ou moins contente.  A mon avis, l'idéal serait quand même d'assurer le rinçage avec de l'eau vinaigrée (vinaigre de cidre). 

Je tenterai cette recette.  Et vous en donnerai des nouvelles.  Comme celle concernant le dentrifice que j'utilise désormais.

Base lavante neutre; (j'utilise du savon de Panama) 0,5 L

Glycérine (en pharmacie) 2 C.à soupe

Huile bio (tournesol, amandes douces, argan...) 5 C.à soupe

(on peut en mettre plus ou moins selon la nature des cheveux)

 HE Petit grain bigarade (pour la conservation) 3 à 5 gouttes

HE autres pour parfum, soins ( géranium, lavande, rose)

Base l

Le tube de dentifrice se vide.  Vient le temps pour moi de tester une recette de dentifrice qu'une jardinière du Champ/Chant des Cailles m'a refilée:

On peut remplacer une partie de l'eau par du gel d'aloe vera, c'est plus doux comme consistance à adapter en fonction de ses idées...  ou / et de la décoction/tisane de sauge, excellente pour les gencives!

Je vous en dirai des nouvelles!

Le prochain défi pour moi concerne le shampoo.  Celui que j'ai ne lave pas correctement mes cheveux.  Je dois absolument trouver une solution. Aujourd'hui, j'ai lavé mes longs poils avec du savon d'alep en barre...Si vous avez des recettes (faciles mais bon, pas le truc de l'oeuf ou du vinaigre), je suis preneuse.

Concomitamment au sujet des couches lavables pour enfant, se dessine celui des couches lavables pour femmes adultes.   Cela va de pair.  Moi, contrairement à Franfreluche, ce n'est pas par solidarité pour bébé, au contraire, pour c'est palier (en partie) le fait qu'on n'utilise pas de couches lavables pour notre fille..

Fanfreluche a écrit son expérience de la coupe menstruelle. 

Pour ma part, je n'ai jamais été fan des tampons. Je me suis donc tournée vers les serviettes hygiéniques lavables.  Certes, à mon avis, c'est moins écologique que la coupe menstruelle.  Hormi l'énergie et la matière pour sa fabrication, elle nécessite aucune énergie.  En effet, elle exige peu d'entretien: de l'eau et des huiles essentielles de désinfection quelques fois par an.  A mon avis, une coupe peut s'utiliser à vie.  Une pour toute une vie, j'avoue rien n'est plus écologique....sauf...

Sauf l'absence de coupe ni de couches lavables tout court, à l'instar de celles et ceux qui pratiquent l'HNI, ou pour les non-initiés: l'hygiène naturel infantile. Pour les femmes, cela donne le free flow instinct (quelques mots d'explications ici et plus d'infos avec une vidéo ici.)

Bon, alors, pour l'HNI, ce n'est pas mon truc.  Bébé, je n'ai jamais porté de couches proprement dit. J'étais souvent fesses à l'air.  J'ai même défequé sur les épaules de mon papa à plusieurs reprises.  Mes parents aiment à se souvenir de ces histoires.  A fuir dans la brousse cambodgienne, mes parents, vous pensez, n'avaient pas de couches pour moi.  Ici, je n'ai pas le temps, la patience, l'envie de passer mon temps près de mes enfants pour détecter le moindre signe.  On peut tenter quelques temps, j'en connais qui l'ont fait, mais de manière éphémère...D'autres s'y appliquent à temps plein.  Les parents, du moins, l'un d'eux sont dont parents à temps plein...Pour moi, c'est trop contraignant.

Et bien, en lisant et en regardant la vidéo sur le chou brave, j'ai eu les mêmes réflexions.  L'autonomie de notre corps, elle a des limites quand même.  On doit manger pour vivre, en cela, nous sommes dépendants d'autres: les plantes, les animaux (à moins d'être végétarien-ne-s, végétalien-ne-s).  Au-delà du débat besoin/envie, s'il est bien une réalité, c'est celle-ci: pour vivre, l'homme et la femme a besoin de manger un minimum.  Inutile de développer plus ici.  Du coup, l'argument sur l'autonomie du corps ne me paraît pas des plus appropriés. 

En tout cas, si vous essayez cette méthode, venez raconter votre expérience.  Cela m'intéresse.

Enfin, ce qui me fait tiquer, c'est que cette méthode demande de connaître son corps, et surtout requiert les services d'un périnée performant.  Alors, je pourrai en parler dans un article ultérieur, de la rééducation post-natale, mais, pour ma part...

Pour ma part, j'en reste à mes serviettes hygiéniques lavables.  La prochaine étape consistera à en coudre moi-même.  Et déjà à ce stade, ne plus dépendre d'un magasin à chaque cycle menstruel est ... jouissif.  (Allez, j'ose le mot )

Lors d'un échange sur les couches lavables sur la page fb de Raffa, j'expliquais les inconvénients si souvent passés sous silence.  C'est lourd et encombrant.  Trois couches jetables, c'est fin, peu volumineux.  Une fois usées, elles sont à jeter. Par contre, les couches, c'est plus volumineux.  Une fois souillées, elles sont plus lourdes.  Quand on passe la journée hors de chez soi, en vadrouille, avoir 4-5 couches sales, c'est lourd, volumineux (parfois, pas agréable à l'odeur), en particulier si, être en vadrouille de manière écologique rime avec pied, vélo ou transport en commun.  Plus, prévoir les vêtements de rechange en cas de fuite.  Après, il y a l'intendance pour les mettre la machine à laver, les faire sécher, etc.  On le voit, utiliser des couches lavables implique quand même un investissement en temps et en énergie.  Malgré tout cela, je ne peux que préconiser les couches lavables.  Il ne me viendrait pas à l'esprit de plaider le contraire.  Donc, ne faites pas ce que je fais (faites ce que je dis, pas ce que je fais ). 

Raffa, quant à elle, expliquait que la coupe, dans un festival ou un concert où il n'y avait pas de lumière dans la toilette (sèche), c'est .... comment dire? périlleux.  Votre avis?  Votre expérience?

Pour les serviettes lavables.
Avantages: on ne dépend plus d'un magasin à chaque période menstruelle, c'est donc écologique et économique.

Inconvénients:
1) Il convient de prévoir un petit sac avec 3-4 SH.  C'est plus volumineux que 3-4 serviettes jetables.  Le sac sert à recueillir les couches adultes une fois souillées.  C'est clairement plus volumineux que des couches jetables.  Par contre, je n'ai pas détecté d'odeur le temps d'une journée.  Evidemment, pensez à sortir les SH une fois à la maison.

2) L'homme fait une drôle de tête lorsqu'il voit les SH tremper dans de l'eau rouge (trempage afin de faciliter la disparition des taches, taches pas du tout gênantes, cela dit en passant, puisque c'est fait pour être taché).  Cela fait tache dans une salle-de-bain.  Donc, le mieux, c'est d'utiliser une poubelle avec couvercle, style poubelle à couches (mais ce n'est pas indispensable d'avoir LA poubelle dite à couches - marketing).

***

Une question concrète de Tite Bulle me pousse à évoquer la question du change des bébés.  Je comptais en parler depuis belles lurettes, sa question m'incite à m'y atteler.

Je vais être franche.  A la maison, chacune de nos tentatives de couches lavables se sont soldées par des bodies trempés d'urine.  Ce qui, vous l'aurez compris, nous décourage et nous dissuade de perséverer dans cette voie, malgré notre conscience de polluer la planète avec nos couches, aussi écologiquement bio comme veulent le laisser croire l'étiquette et la marque (pas celle des supermarchés que l'on évite).  Bien que nous soyons, môssieur et moi, totalement convaincus de la bêtise de notre geste, nous ne nous y sommes pas encore vraiment mis (comme quoi, l'info ne suffit pas, la culpabilisation non plus). 

Je me dis qu'avec l'été, je re-tenterai bien les couches et surcouches, système que j'évite depuis la naissance de ma fille ( à quelques exceptions près, qui ont quand même débouché sur plusieurs fuites), vu que quand il fera beau, je pourrai la mettre en robe et non en pantalon.  Et cela change quoi?  Celle ou celui qui pose la question, en posant cette question, signale qu'elle ou il n'a jamais mis ou vu de couche et surcouche sur un bébé.   En l'état, la mode n'est tout simplement pas adaptée.  Les pantalons de bébés ne permettent pas d'y lover les gros popotins des bébés recouverts de couche + surcouche.  Ce système, c'est connu, transforme le derrière des bébés en arrière-train énorme (et disgracieux).

Donc, aujourd'hui, pas de prose sur les couches lavables...Mais sur ce que j'utilise pour le change de ma fille et ai utilisé pour celui de son grand frère: le liniment oléocalcaire et le support pour l'utiliser.

C'est la grande mode du bio.  Le liniment.

Les premiers mois de Fiston, j'achetais le liniment cher et vilain à la pharmacie.  Je ne savais pas où acheter l'eau de chaux nécessaire à sa préparation.  Quand la boutique belge où je m'approvisionne pour mes couches lavables, serviettes hygiéniques (article à venir) et autres produits écologiques a proposé de l'eau de chaux, j'ai cessé d'enrichir la pharmacie de mon quartier (mon ancien quartier), une des rares à vendre du liniment (mais qu'on trouve facilement en magasins bios).   Et j'ai préparé moi-même mon liniment. 

Recette ultra-simple: acheter de l'eau de chaux. Attention, il s'agit d'un produit irritant.  A manipuler avec précaution.   Son potentiel irritant est neutralisé lorque l'on y adjoint de l'huile, ce qui tombe bien parce qu'on le mélange à de l'huile pour "fabriquer" du liniment.

Donc, il convient également d'acheter de l'huile.  Il va de soi que j'utilise de l'huile végétale bio première pression à froid.  Pour le liniment, c'est l'huile d'olive qui est reine.  Mais le week-end dernier, je n'en avais plus.  Par défaut, j'ai pris la bouteille d'huile de tournesol que j'ai sortie de mon frigo.  Je me souviens encore du regard étonnée de mon amie à qui je montrais comment préparer le liniment.  Et oui, je pense que c'est l'auteure de l'Atelier naturel qui expliquait que ce qu'elle mettait sur son visage, elle devait pouvoir l'ingérer.  Bon, boire de l'eau de chaux, non, mais utiliser de l'huile végétale comestible, cela me parait basique. 

Ceci dit, pourquoi ne pas prendre les belles petites bouteilles pour massage ou pour cosmétique?  Quelle est la différence?  Tout simplement le prix.  Le conditionnement et le packaging également. Une petite comparaison de prix vous dissuadera, je pense, d'investir dans les modèles de bouteilles jolies mais chères (vous payez le packaging, et le marketing).

Maintentant que vous avez acheté les deux composantes essentielles du liniment, vous avez accompli le plus difficile.

Vous mettez dans un récipient 50% d'huile d'olive, 50% d'eau de chaux (attention à ne pas éclabousser ce liquide).  Et vous mixez.  En quelques secondes, vous obtenez une mayonnaise onctueuse: votre liniment. Prêt à l'emploi.  Pour les fesses de bébé ET pour vous.

Pour vous?  Le soir, je l'utilise comme démaquillant (même si je ne me maquille pas, disons, comme crème de soin).  Dans l'idéal, appliquez un tonique (autrement dit, une eau florale, en fonction du type de votre peau).  Et le matin, je m'applique du liniment comme crème de jour (dans l'idéal, après avoir appliqué ou pulvérisé le tonique - mais dans ma vraie vie, j'ignore l'étape du tonique).

Certain-e-s rajoutent de la cire d'abeille. Moi, je n'en vois pas l'intérêt.  Par contre, certain-e-s disent de mélanger sans mixer. Pour avoir tenté l'expérience, je conseille quand même d'user d'un mixer.

Pour un énoncé des avantages, voir par exemple sur le blog de l'Atelier naturel.  En 2 mots, cette précieuse mixture nettoye parfaitement les fesses de bébé, les selles se détachent facilement.  Vous avez un produit donc vous connaissez toute la composition, sans conservateur, ni colorant, ni parfum.  Le liniment protège la peau.

A la maison, j'utilise les bouteilles vides d'eau de chaux pour réceptionner mon liniment. 

Or...

A force, les bouteilles vides d'eau de chaux s'accumulent dans notre salle-de-bain, jusqu'à ce que mon homme, excédé les jette.  J'ai donc décidé que dorénavant, pour ma fille, nous privilégierons l'eau.  Le liniment, je l'utilise car le soin du matin et soir exclusivement à l'huile de macadamia ne me convient pas (j'ai tenté pendant plusieurs mois, et ai décidé, le week-end dernier, de me repréparer du liniment).

Maintenant que vous avez le produit, parlons du support.

Les lingettes lavables, que ce soit pour votre visage ou pour les fesses de bébé, ce n'est le mieux si vous utilisez du liniment.  A moins que, comme moi, vous n'avez pas peur de devoir les jeter au bout d'un moment, tellement elles sont devenues encrassées.  C'est que le liniment, c'est gras, extrêmement gras.  Les belles lingettes confectionnées avec attention par ma copine ce week-end, je lui ai déconseillé de les utiliser avec le liniment.

Par contre, utiliser du papier toilette ou du papier jetable à chaque fois (comme nous l'avait recommandé Aline, notre sage-femme), je ne m'y résolvais pas.  La solution pour les fesses de bébé?  (pour mon visage, comme dit plus haut, j'utilise des lavables que je sais vouées à la poubelle dans quelque temps).  Le papier de protection.  Vous savez, celui que vous mettez dans les couches lavables pour recueillir les selles de votre bébé?  Et bien, ce papier est suffisamment fin pour passer entre les fesses de bébé, tout en étant relativement solide et lavable, donc réutilisable...jusqu'à atteindre un tel degré d'encrassement qu'il devient évident que sa place réside dans la benne à ordures.

Si comme nous, vous passez à l'eau pour les fesses de bébé, le gant de toilette suffit.  A la maison, nous utilisons le gant de toilette fait à partir de tetras.  Ce tissu est fin pour passer facilement entre les deux fesse de bébé, et surtout, il sèche rapidement.

Le rhume du bébé vous a atteint, à moins que comme moi, cette semaine, c'est vous qui avez refilé vos virus à vos enfants?

Alors, que faire si le nez coule, si la gorge chatouille?

Je ne sais pas vous, mais moi, voici ce que je recommande.  Si vous avez pris froid, c'est, souvent, en raison d'une baisse d'immunité.  Il convient de la raviver.  Donc:

1) des tisanes au thym à gogo. 

2) agrémentées de citron

3) et de miel.

Le top du top, c'est la propolis.  A court de propolis, et après avoir découvert un paquet mini riquiqui, et suremballé, dans un magasin bio, j'ai décidé de demander à un de mes voisins, apiculteur, de nous fournir de sa propolis.  Il a gentiment conseillé de nous tourner vers les versions bio car la propolis concentre très fort les pesticides (idem pour le pollen).  Comme e n'en ai plus à la maison, cette semaine, je me suis contentée de me shooter à la tisane au thym, citron miel.

Le quator doit, dans la mesure du possible, être chapeauté du plus grand allié à votre guérison, j'ai nommé : le repos. 

Dans la mesure du possible, évidemment.

En tout cas, le meilleur conseil que je puisse donner quand votre corps vous signale que votre immunité baisse, c'est:

Du repos et du temps...

Courage, le printemps va arriver....

PS du 22 mai '13: J'ai oublié de préciser.  Ne faites pas comme moi ce matin: boire une tasse de lait chaud et manger un bol de yaourt.  Enrhumé-e, veillez à éviter les produits laitiers.  Ils épaississent les glaires. 

PS 2 du 22 mai '13: Le repos, c'est aussi pour pouvoir expectorer les glaires tranquillement chez soi...sans gêner/être gêné-e par ses collègues...