• Dans mes recherches concernant la garde d'enfants, je suis tombée sur ce rapport.  Je l'ai rapidement parcouru et il m'a paru très instructif.

    D'après ce que je comprends, une nounou à domicile est soit une employée soit une domestique.  Ce sont deux statuts différents, le premier étant plus avantageux pour la nounou que le second.

    Bon, je dois encore approfondir la question...


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  • J'en ai parlé ici, de ce bébé exclu de la crèche parce que ces parents refusent l'injection du vaccin ROR en raison des risques de santé (eczéma du petit). 

     Un mail de la maman, Florence, fait le tour du milieu alternatif en ce moment.  J'ai téléphoné à la mère en question, histoire de vérifier que ce n'était pas un hoax.  Je confirme donc le besoin de trouver une solution très rapidement.  Pour le moment, Florence a pris congé.  Vous conviendrez que la situation ne peut pas durer.  Donc, si vous avez une idée  (abordable financièrement, évidemment) pour dépanner cette famille, puis pour l'aider à trouver une solution pérenne...Merci de la contacter ici.

    Pour info, la famille habite près de la Place Ste. Catherine (Béguinage).  L'enfant est plus âgé que mon enfant qui a presque 22 mois (je n'ai pas réussi à retenir le chiffre; l'ai-je précisé, les nombres et moi sommes fâchés).

    Avec son autorisation, je publie son appel à l'aide (en biffant les prénoms). 

    Pour la contacter, c'est ici

    [MAJ 2011-07-27] Florence m'a indiqué par mail avoir trouvé une solution.  Merci à tous ceux qui se sont manifesté pour lui proposer leur aide.


    Chers amis

    Comme le savent certaines d'entre vous, j'ai décidé de ne pas vacciné S. contre la rougeole oreillon rubéole et ce d'autant que S. présente de sérieux problèmes d'eczéma.

    La crèche qui dépends de la ville de Bruxelles, n'a absolument pas pris en considération le certificat médical de mon médecin traitant attestant qu'il n'était pas recommandé de vacciner S. étant donné ses problèmes de peau (+ antécédants familiaux) et a pris la décision de mettre S. à la porte sur le champs. La presse en a d'ailleurs relaté les faits ces derniers jours.

    Mon avocat a donc introduit une requête au conseil d'état pour faire annuler cette décision étant donné que cette situation me met en danger étant donné qu'elle m'empêche de travailler, les places en crèches étant insuffisante à Bruxelles et n'ayant aucune famille proche pour m'aider.

    J'ai appris ce soir que la requête a été rejetée, elle avait été rejetée une première fois vendredi par manque de documents pour argumenter que cela me mettait en danger, nous en avons réintroduit une nouvelle aujourd'hui avec les documents requis et celle-ci a été rejetée également, le juge estimant que je pouvais faire garder S. par sa Grand-mère (qui habite à 60 km) et qu'A. et moi pouvons faire appel à une crèche privée étant donné que nous travaillons tous les 2 ou néerlandophone (dans laquelle le vaccin ROR n'est pas obligatoire, tiens, tiens les néerlandophones seraient-ils plus négligent.... ou intelligents).

    Je suis découragée, à aucun moment il n'est fait état du bien être de S. alors que c'est pour ça que je me bats. Ce qui est important c'est de respecter les procédures et les intérêts des sociétés pharmaceutiques et les médecins à la solde de celles-ci..... Aussi, je pensais la justice impartiale, je commence à avoir des doutes....

    Personne n'en a eu que faire du certificat du médecin, pas de réponse de la crèche par rapport à celui-ci, exclusion sur le champs (peut importe les csqce de la brutalité de cette décision pour S.) , mon avocat a du venir sur place pour exiger une réponse par rapport au certificat ce qui nous a donner un délai de 3 jours en plus. Au terme de ces trois jours, nous avons quand-même reçu une réponse écrite, le certificat a été refusé, il ne fait pas partie des contre-indications estimées par l'one! Et quelles sont les contre-indications acceptées par l'one, personne ne le sait (pas même leur site n'en parle, bravo la transparence), pas de contrexpertise médicale, il semble que l'one a tout pouvoir. Sans compter qu'elle outrepasse la loi européenne de 2002 sur le droit du patient.

    Tout ces arguments et bien d'autres figuraient dans la requête de mon avocat, lorsque je l'ai lu je me suis dit qu'il était impossible qu'il refuse d'annuler la décision tant la manière dont a procédé la ville de Bruxelles est scandaleuse.

    Si vous souhaitez plus d'info à ce sujet et au sujet de la vaccination, le bloc d'initiative citoyenne en parle très clairement

    Donc je me tourne un peu vers vous pour savoir si vous connaissez des crèches alternatives ou des parents qui cherchent à se rassembler pour faire garder leur enfants ou tout autre formule qui me permettrait de me dépanner en attendant que je trouve une solution définitive, il y a vraiment urgence.
    Si vous pouviez faire passer ce mail aux amis des amis, ce serait super.

    Je vous embrasse 
     
    Florence


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  • Thaïs SANDER est une femme créative.  Maman de 6 loulous, directrice & animatrice intergénérationnelle de l'asbl Assembl'âges, elle a le souhait de mettre sur pied un projet intergénérationnel d’habitat communautaire pour 5 à 7 seniors et d’accueil d’enfants de 0 à 6 ans.  

    Cette initiative est encore à l'état gestationnel.  Elle demande une réflexion à laquelle Thaïs souhaite associer les personnes intéressées par cette entreprise. 

    Afin de recueillir les besoins et les REVES des parents désireux d'amorcer une réflexion sur le sujet et de contribuer à la réalisation de ce projet, Thaïs propose une soirée de réflexion le 27 juin, de 20 à 22h, chez E.: chaussée de Wavre, n°1762B - 1160 Auderghem - métro Hermann-Debroux.

     

     


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  • L'école Steiner de Court-Saint-Etienne organiser sa fête de l'été le samedi 25 juin prochain à partir de 15h.

    Plus d'infos sur le site de cette école, ici.

    Ce sera l'occasion de découvir l'école que fréquentera un des copains de mon fils.  C'est sa maman, passiflorienne, qui m'a communiqué l'info. 


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  • Il est des mémoires qui méritent notre attention.  Celui-ci a tout de suite attiré le mien en raison du sujet traité : l’éducation à domicile au Québec

    L’auteure, Christine Brabant (de la famille d’Isabelle[1] ?  La question m’est venue spontanément), a consacré son travail de fin d’étude à l’analyse des motivations des familles ayant opté pour l’éducation à domicile au Québec.  Quelque 169 pages expliquent de long en large sa démarche, ses entrevues, et ses conclusions.

    Je n’ai pas lu ce travail.  Autant l’annoncer d’emblée.  Il figure dans ma liste à lire un jour.

    Toutefois, - ceux qui me lisent l’auront compris, j’aime les conclusions-, je relève ceci dans ses conclusions (page 119, aussi lisible dans un article qu’elle a rédigé avec deux autres auteurs et qui résume son travail[2]) :

    Comme la recherche sur l'efficacité de l'éducation à domicile n'émet que des conclusions favorables sur la réussite scolaire et sociale des enfants concernés, cette pratique met les chercheurs en éducation et les autorités scolaires au défi de la comprendre et d'apprendre de cette vision marginale de l'éducation des enfants d'âge «scolaire». C'est dans l'optique d'une ouverture à ces questionnements, d'une meilleure compréhension de cette pratique et de ces familles qu'il faudra établir un dialogue avec ce mouvement éducatif et soutenir les parents dans leur travail d'éducation s'ils en expriment le besoin.

    Ce mémoire est loin d’être passé inaperçu.  Il a notamment reçu le prix Desjardins d’excellence pour étudiants-chercheurs à la maîtrise 2004. Le Ministère du Québec l’a également épinglé (ici).  La liste des publications de cette auteure est disponible ici ; certains sont disponibles sur internet. 


    [1] Isabelle Brabant est l’auteure de Une naissance heureuse.  Toutes les familles ayant accouché à domicile ou en maison de naissance la connaissent.  Ici un article qui en parle.

    [2] Christine Brabant, Sylvie Bourdon et France Jutras, « L’école à la maison au Québec : l’expression d’un choix familial marginal », Enfances, Familles, Générations, Numéro 1, automne 2004 consacré au thème : Regards sur les parents d’aujourd’hui, disponible à l’adresse suivante : http://www.erudit.org/revue/efg/2004/v/n1/008894ar.html.  On peut découvrir une version pdf ici

     


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  • Au détour de mes recherches sur l'enseignement à domicile, je découvre des articles intéressants. Celui dont je mets le lien aujourd'hui en fait partie.  Je ne l'ai pas lu entièrement, mais j'ai parcouru sa conclusion, dont voici un large extrait:

    6. Plus qu’un déplacement, le trajet scolaire est l’expression du rapport à la ville Le déclin de la marche et du vélo chez les enfants constitue l’expression d’un nouveau rapport à l’école primaire, laquelle est de moins en moins liée au quartier de résidence et de plus en plus choisie en fonction d’autres critères. Les parents font le choix d’une école en fonction de leurs préférences personnelles, de leur évaluation de ce qui est le mieux pour leurs enfants, la proximité étant un facteur parfois secondaire, dans la mesure où l’automobile rend facilement accessibles les établissements éloignés de la résidence. Le choix de l’école peut en ce sens être assimilé à une logique de consommation. La différenciation des écoles, conçue comme stratégie d’ajustement face aux fluctuations démographiques et aux demandes des parents, est à la fois la condition et le résultat de ce nouveau rapport à l’école.


    En permettant l’arrimage des déplacements des parents et des enfants d’une même famille, l’automobile devient un outil important dans la gestion de plus en plus serrée du temps, notamment le matin. La désaffection de l’école de quartier, bien qu’encore peu importante, apparaît indissociable de l’adoption d’une logique de mobilité motorisée, pour laquelle la distance est une contrainte moins importante que pour les déplacements à pied. L’expérience urbaine est, ce faisant, de moins en moins marquée par la proximité. Dans le cas des enfants, cela signifie un contrôle accru des parents sur leur mobilité, qui s’affirme à travers l’automobile.

    [...]

    Autrefois au coeur du quartier, l’école permettait aux enfants de rencontrer leurs voisins. Il nous faut nous interroger sur la place actuelle des écoles privées et des écoles publiques à vocation particulière compte tenu de leur impact sur la mobilité et leur contribution potentielle pour augmenter la part du transport actif. Car le choix de ces écoles vient réduire les occasions de contact avec ceux qui habitent le quartier, tandis que la motorisation du trajet scolaire fait peu à peu disparaître ce qui était, autrefois, un moment très instructif : le chemin vers l’école.

     Voici des propos qui plaident pour une école de proximité, si ce principe devait encore être démontré. 

    Toutefois, comment assumer le choix pour une école de quartier lorsque celle-ci ne correspond d'aucune façon à ses préférences pédagogiques?

    Ce matin, une maman passiflorienne me relatait la conversation dont elle fut témoin impuissant dans le train entre deux personnes dont un professeur sévissant en 3ème secondaire.  Sévir?  Vous comprendez l'emploi de ce terme après lecture de ce que cette maman me rapporte.

    Cet enseignant expliquait à son interlocuteur comment il concevait des interrogations à ce point difficile que leur réussite relevait d'une gageure.  Il lui arrivait d'en avoir honte mais, selon les termes qui m'ont été rapportés, "cela fait du bien de pouvoir se défouler/se venger".  Il exposait également comment il soupçonnait certains de tricher, car les réponses étaient trop correctes, auraient mérité le maximum, or l'interrogation était rédigée pour ne pas permettre de maximum.

    La maman, indignée par ces propos, l'était tellement qu'elle ne savait par où commencer...

    De mon côté, comment envisager sereinement de mettre mon enfant dans une des écoles de quartier lorsque, en maternelle (2ème ou 3ème), l'institutrice demande à ses élèves de respecter le silence pour dessiner.  "Car il faut se concentrer".  C'est mon homme qui a été témoin, et choqué, par cette scène.  Précision, les enfants ne criaient pas, ne courraient pas dans tous les sens.  Simplement, certains échangaient entre eux.  Alors, est-ce cela, l'école?  Un lieu où se taire à tout prix?

    Bon, là, je dévie.  Je vous invite à découvrir ce texte que je rajoute à mes lectures futures.

     

    Paul Lewis et Juan Torres, « Les parents et les déplacements entre la maison et l’école primaire : quelle place pour l’enfant dans la ville? », Enfances, Familles, Générations, n° 12, 2010, p. 44-64.
    http://www.erudit.org/revue/efg/2010/v/n12/044392ar.pdf


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  • Au détour d'une conversation avec un papa Passiflorien, j'apprends qu'il est possible d'accéder à l'université sans CESS (pour les non Belges, pour résumer grossièrement, il s'agit de l'équivalent du Bac).

    Certes, ceux qui sont instruits à domicile peuvent passer le jury central.  Je pensais que cette solution était la seule voie.  Or, il semble que non. 

    A condition de réussir un examen d'admission, il est tout à fait possible d'accéder à l'université ou une Haute école sans ce fameux sésame qu'incarne le Certificat d'Enseignement Secondaire Supérieur. 

    Je suis preneuse de témoignages...Si vous avez opté pour cette solution, venez partager votre expérience ici.

    Pour en savoir plus:

     

    Télécharger « décret 5 août 1995 hautes écoles.pdf »

     

     

     

    Télécharger « AGVT 29 mai 1996 examen admission universite.pdf »



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