• Je commence à avoir un petit stock de plantes séchées...que je me décide enfin à mettre en bocal.  Voici l'état de ma table de salon jeudi après-midi.

    En bocal

    Les fleurs : trèfles, fleurs de Judée, églantines, glycines, etc.

    Calendulas (soucis)

    plantains lancéolés

    aubépines

    Jeunes feuilles de framboisiers

    7 juin '14 - Mes fleurs séchées pour mes futures tisanes

    Je n'ai pas encore fini de tout mettre en bocal.  Et je n'ai pas encore fini de mettre des feuilles et fleurs à sécher.  Voici mon panier du 6 juin en train de sécher.

    7 juin '14 - Mes fleurs séchées pour mes futures tisanes

    7 juin '14 - Mes fleurs séchées pour mes futures tisanes

     


    votre commentaire
  • Promenade rapide hier matin sur le champ des Cailles...Voici le fruit de ma cueillette

    7 juin - Mon panier du jour : coquelicot, camomille, calendula

    7 juin - Mon panier du jour : coquelicot, camomille, calendula

    Ce jour-là, je suis tombée sur cette fleur que je n'ai pas réussi à identifier

    7 juin - Mon panier du jour : coquelicot, camomille, calendula

    7 juin - Mon panier du jour : coquelicot, camomille, calendula

    Quant à cette fleur, elle s'épanouit en marge du champ.  D'après Ann et Caroline, il s'agit d'un géranium.  Les feuilles sont très caractéristiques.

    7 juin - Mon panier du jour : coquelicot, camomille, calendula

     

     

     


    votre commentaire

  • Documentaire : Être sans avoir par France3-Bourgogne
    Vidéo intéressante pour initier un débat.


    votre commentaire
  • Un livre que ma fille a reçu pour ses deux ans de son grand-père et que ma princesse adore! Ce livre est devenu Le livre du soir avant la nuit, alors que jusqu'à ce livre, elle ne réclamait pas d'histoire avant de dormir. Empreinte de préjugés que je suis, je fus quand même étonnée de voir que l'auteur est un mec. Tellement je trouve le livre doux, douillet et tendre...

     

     


    votre commentaire
  • Il y a près d'un an, je donnais ici la recette d'un shampooing maison.  J'avais promis d'en donner des nouvelles.  Non, ce ne sera pas pour cette fois.  Tous les ingrédients sont toujours chez moi.  Seulement, je suis assez flemmarde pour m'y coller.  Mes cheveux, c'était une CA-TA-STRO-PHE (ce n'est toujours pas génial, mais bon, cela va mieux, j'ai compris qu'il fallait les brosser régulièrement.  Avant, je ne me les brossais que le moins possible).

    L'amie qui m'a filé la recette de shampooing m'a confié qu'elle tentait le no-poo. Cela m'a donné envie de m'y mettre. Il faut dire que depuis que j'ai la flemme d'acheter des produits tout faits (oui, en ce moment, comme je l'ai écrit ailleurs, j'évite de remplacer ce que j'estime devoir être fabriqué par moi-même).  Cela fait donc bien 3, voire, 4 mois que je fonctionne sans shampooing.  Alors, ce ne fut pas génial.  J'ai souvent eu les cheveux gras (d'où l'avantage de ne pas travailler pour un boulot rémunéré avec des collègues que tu ne choisis pas et que tu vois tous jours).  Mais maintenant, je trouve que cela va beaucoup mieux. 

    J'ai utilisé du rhassoul avec l'eau vinaigrée.  Maintenant, je suis plutôt au salon d'Alep + eau vinaigrée.  Pour l'eau vinaigrée, j'utilise du vinaigre dans lequel j'ai fait macéré des pelures d'oranges ou de clémentines séchées (ce que j'ai commencé à faire cet hiver).  Cela donne une bonne odeur au vinaigre. 

    Il y a quelques semaines, j'ai essayé le bicarbonate + l'eau vinaigrée, comme m'avait indiqué faire ma copine.  Attention: cela pique les yeux!  Bien les fermer.  Je n'ai plus recommencé depuis.  Le savon d'Alep, cela me va.   Béa Johnson, dans Zéro déchet, utilise le savon de Marseille acheté sans emballage plastique.

    Autre avantage à ne pas bosser pour un chef et avec des collègues au quotidien, c'est que j'ai pu tester de fait de ne plus laver mes cheveux, un passage obligé pour se passer de shampooing. Obligé mais socialement handicapant. 

    Notez que certaines personnes se vantent de se laver les cheveux sans shampooing mais le remplacent par de de l'après-shampooing.  Pour ma part, comme le but est de se passer des produits de marque, et de l'emballage qui va avec, je ne vois pas l'intérêt de me passer de shampooing pour être dépendante des après-shampooing.

    Pour en savoir plus:

    Un blog complet sur la méthode no-poo: Antigone XXI

     

    1. Doit-on impérativement suivre l’ordre des étapes ?

    A moins d’avoir déjà l’habitude de peu se laver les cheveux (< 1/semaine) et d’être déjà aux moyens de lavage naturels (rhassoul, shikakaï…), oui, il faut suivre l’ordre des étapes, à savoir :

    1. Espacer les shampoings : arriver au moins à un shampoing par semaine seulement. On peut s’aider de shampoings à sec (fécule, argile) pour y parvenir. Se brosser les cheveux tous les jours.
    2. Une fois ce rythme obtenu, remplacer les shampoings par le no-poo. On peut continuer les shampoings à sec et/ou et se passer les cheveux à l’eau autant qu’on le souhaite. Essayer d’espacer de plus en plus.
    3. Une fois parvenu à 1 no-poo max. semaine, ne pas se laver les cheveux pendant 1 mois. On peut faire des shampoings à sec ou des lavages à l’eau. Toujours bien se brosser les cheveux et laver sa brosse tous les jours.
    4. Faire selon ses envies et nécessités : 1 no-poo / mois, lavages à l’eau seulement, etc.

    *

    2. Peut-on commencer avec le mois sans rien ?

    Non. Sauf si vraiment on a l’habitude de ne pas se laver les cheveux plus d’une fois par semaine et qu’on utilise déjà des produits naturels.

    *

    3. A quelle vitesse espacer les shampoings et le no-poo ?

    Si vous vous lavez les cheveux tous les jours, commencez par essayer de le faire tous les 2 jours seulement. Au bout de 2-3 semaines à ce rythme, passez à un tous les 3 jours, puis, au bout de 2-3 semaines encore, à un tous les 4 jours, etc., jusqu’à parvenir à 1 semaine au moins. Passez ensuite au no-poo, que vous pouvez alterner au début avec d’autres nettoyants naturels (rhassoul, shikakaï, etc.).

    Une fois au no-poo, c’est pareil, on continue d’espacer. Au bout de quelques mois, si tout va bien, on est prêt pour le mois sans rien !

    Il faut être patient, c’est une méthode lente et c’est pour cela qu’elle marche.

    *

    4. Doit-on forcement passer par le mois sans rien ?

    Disons que ne pas se laver les cheveux pendant un mois aide vraiment à ce qu’ils re-graissent beaucoup moins vite par la suite. Pour ma part, je parvenais, avec beaucoup d’efforts, à espacer de 10 jours max. mes shampoings, et quand j’ai fait le mois sans rien, ça a tout changé par la suite.

     


    votre commentaire
  • L'école de mon fils...C'est de l'implication de la part des parents...Et des découvertes de ma part pour des débuts de passion ...comme les fleurs (voy. ce post)...Pour la fête de la Pentecôte fêtée ce jeudi à l'école, on doit amener des fleurs séchées à l'école.  Elles seront lancés sur des couples d'enfants...  Pour une fois, je m'y suis prise à temps.

    C'est joli, hein?

    Les pétales jaunes sont des pétales de tulipes d'un bouquet reçu à l'occasion de l'ami qui nous a hébergés pendant nos vacances au Sud de la France.


    votre commentaire
  • La pédagogie Steiner-Walodorf demeure un mystère pour moi...dans le sens où je suis toujours aussi inculte en cette matière, indépendamment du fait que mon fils fréquente une école de ce genre.

    J'ai tout de même une interrogation suite à l'entretien individuel que mon homme et moi avons eu avec une des instits de mon fils (elles sont deux à partager un mi-temps dans la classe de Fiston).  Nous avons bien passé une heure à discuter des soucis liés aux crises de rage de mon chérubin.  L'instit' a précisé qu'elle parvenait à garder son autorité à l'école mais qu'il fallait absolument mettre des limites.  Et si mon enfant attire négativement notre attention, il convient de ne pas lui prêter d'attention, justement.  Pour qu'il comprenne que cette manière de vouloir attirer notre attention n'est pas la bonne.  Par contre, "quand il se comporte correctement, qu'il fait de bonnes choses, il faut le féliciter...".  L'instit' a regretté de si peu maîtriser le français (pour rappel, l'école est en zone néerlandophone, on y parle donc néerlandais; mais l'entretien a vite switché en français, mon néerlandais étant trop pauvre), car cela l'a contrainte à parler de manière directe sans les mots qui permettent d'adoucir ses propos. 

    Après cet entrevue, j'ai quand même été choquée.  Pas sur le moment, même si je sentais une boule dans mon ventre, mais surtout, en y repensant après.  L'instit' a donné pléthore de conseils et recommandations sur le mode de fonctionnement familial...comment coucher l'enfant, à quelle heure...Et les points positifs se sont résumés à 2 phrases: sinon, pour le reste, pour le psychomot', tout va bien.  Et sinon, c'est un gentil garçon.  Un peu court...

    Son conseil de ne pas prêter à l'enfant en pleine crise de rage, c'est tellement à mille lieues de ce que raconte Filliozat...En même temps, Filliozat, je dois bien l'avouer, ses propos ne nous permettent pas de faire en sorte que le comportement de notre fils devienne plus correct socialement.  Ex: ne pas me hurler dessus, ou hurler sur ses figures d'attachement les plus proches, voire même sur les parents de ses potes qu'il connait bien...

    Heureusement, l'autre instit' m'avait déjà fait part de certaines observations, notamment sur ses dessins et les couleurs...

    Je trouve dommage que l'entretien n'ait tourné qu'autour du point le moins glorieux de mon fils, comme s'il était résumé à ces crises...Même si, j'en conviens, ces hurlements et ces réactions brutales ont déjà des répercussions très réelles, dont celles que son entourage immédiat (mon homme, moi, sa soeur, ses grands-parents, ses tantes aussi sans doute) éprouve moins de plaisir à s'occuper de lui, du moins une certaine appréhension à être en sa compagnie tant il peut éclater si abruptement...

    Un des traits qui le caractérise tant a été très peu évoqué, même s'il a plané en filigrane lors de tout l'entretien.  Il s'agit de son imagination débordante, qui l'envahit depuis qu'il est tout petit, de sorte qu'il est habité par des peurs terribles et d'une angoisse prégnante.  Le récit de ses cauchemars est assez terrible...pour un petit gars de 4 ans et demi. 

    1er juin '14 - Notre 1er entretien avec l'instit de Fiston et mon dépit devant les conseils reçus

     

     


    votre commentaire
  • Ma fille, à la plaine de jeux, en pleine éclate avec son grand-père (lok ta en khmer), apostrophe un passant totalement inconnu:

    Regarde, monsieur, regarde, mon lok ta me fait tourner!

    ***

    Vendredi dernier, c'était l'anniversaire de ma chérie.  Elle avait été préparée par l'anniversaire de ma filleule, qu'on avait fêté quelques jours auparavant (2 ans, 17 jours avant ma fille).  Elle a donc assisté à la chanson et au gâteau.  Fiston avait été informé que l'anniversaire de sa sœur approchait.  Il a donc briefé sa soeurette: bientôt, c'est l'anniversaire d'A., A. va avoir deux ans.  Il y aura un gâteau au chocolat.  Un grand gâteau pour A. et un gâteau pour moi.

    Avant ces explications, lorsque l'on demandait à ma chérie quel âge elle avait, elle répondait: quat'ans et demi.  ce qui correspond à la réponse qu'elle entend son frère donner à une telle question.  Puis, après l'anniversaire de ma filleule, Zélie, elle répondait en montrant son pouce et son index: deuzans!  Sur un ton péremptoire qui ne laissait place à aucune hésitation ni contestation. 

    Et deux jours avant son anniversaire, après les explications de son frère, elle a maintes fois répété: "dans 2 jours, 'niversaire d'A., va 'voir 2 ans!"

    La voici le jour de ses 2 ans, ma princesse en tenue rarissime: en jupe.  Choisie chez ses grands-parents chez chi elle venait de passer la nuit, histoire de nous laisser tenir une réunion chez nous la veille.  Sur la photo, elle honore le petit lavabo imaginé pour notre fils à son âge et que l'on a remis en service pour elle.  Elle adore!

    30 mai '14 - Regarde monsieur, regarde

    Ma fille en pleine cueillette dans notre jardin.  Telle mère, telle fille!

    30 mai '14 - Regarde monsieur, regarde

    Au moment de la photo, nous étions en partance pour la Héronnière afin d'y cueillir les framboises jaunes qu'il convient de ravir aux oiseaux.

    30 mai '14 - Regarde monsieur, regarde!

    Enfin pour le plaisir, voici la petite, après avoir elle-même été enduite d'huile, en pleine séance de massage des pieds de sa maman

    30 mai '14 - Regarde monsieur, regarde

     

     

     

     


    votre commentaire