• NON au bétonnage de l'avenue du Port et à l'abattage des 300 platanes.

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    URL Courte : http://9706.lapetition.be/

    NON AU BÉTONNAGE DE L’AVENUE DU PORT À BRUXELLES ET À L’ABATTAGE DES 300 PLATANES
    OUI À UNE RÉNOVATION RESPECTUEUSE DE L'USAGER, DU PATRIMOINE ET DE L'ENVIRONNEMENT URBAIN

    Les soussignés, à l'analyse de l'avenue du Port et de son projet de rénovation (2008), constatent que:

    - dès août 2011, elle sera irrémédiablement transformée en une voie automobile rapide;
    - son état lamentable résulte d'un manque d’entretien depuis des décennies ;
    - dernière avenue portuaire, elle appartient au patrimoine historique de Bruxelles et valorise le site de Tour&Taxis;
    - construite en pavés centenaires et bordée de platanes alignés, elle constitue un témoin du passé industriel de la cité;
    - son bétonnage implique le déplacement de 1.500.000 pavés (15.000 tonnes) et l'apport de 115.000 tonnes de matériaux;
    - l'emploi du béton a un important coût énergétique, écologique et économique;
    - sauf exceptions, aucun des 300 platanes n'est malade ou dangereux;
    - vu la taille de ces platanes (certains plantés en 1927), ils agissent comme écran acoustique, brise-vent et "anti-
    poussières" pour les quartiers environnants densément peuplés;
    - ce projet, long de 1600 m, coûtera (au contribuable) plus de 12 millions d’euros;
    - les projets urbanistiques futurs impliqueront des interventions lourdes (égouttage, transport en commun, etc.) sur les
    réalisations à peine achevées et la dilapidation du budget engagé;
    - tant les circonstances locales ayant présidé à la définition du projet que la situation économique et environnementale
    (coût de l’énergie) ont profondément évolué depuis l'octroi du permis d'urbanisme et rendent celui-ci obsolète.

    Considérant que Bruxelles, capitale de l'Union Européenne, a la responsabilité morale de s'ériger en modèle de protection du patrimoine, ils enjoignent résolument aux autorités compétentes de:

    - prononcer l’arrêt immédiat des travaux prévus;
    - proposer un nouveau projet raisonné, respectueux de l’environnement et soucieux de la situation économique;
    - prévoir explicitement la sauvegarde et la mise en valeur du caractère patrimonial de l’avenue du Port;
    - proposer un plan d'aménagement créatif, basé sur une réflexion prospective;

    Dans le respect strict des principes qui suivent:
    - le maintien des pavés d'origine en porphyre et leur redressement dans les règles de l'art ;
    - le maintien, sous réserve des quelques interventions localisées nécessaires, des 300 platanes en pleine santé ;
    - la réalisation durable de la signalisation et des marquages au sol;
    - l’aménagement de trottoirs, de pistes cyclables et des traversées correspondantes spacieuses et sécurisées ;
    - l'implantation d'un éclairage qui reflète clairement le caractère urbain de la voirie et s'harmonise à son style ;
    - la mise en place du mobilier urbain utile à la mise en valeur de l'avenue (bancs, poubelles, toilettes publiques, etc.).


    NON au bétonnage de l'avenue du Port et à l'abattage des 300 platanes.


    Ecrivez une lettre via ce site: http://www.avenueduport.be/envoyez-une-lettre/

     

    Madame  Grouwels,

    Depuis plusieurs mois, je me mobilise activement contre le de réaménagement de l’avenue du Port tel qu’il est prévu par la Région.


    Si vous souhaitez connaître mes raisons et points de désaccords, je vous invite vivement à visiter le site www.avenueduport.be, vous ne serez pas insensible aux arguments développés.

    Je n’habite pas cette avenue et pourtant je suis très attaché(e) au caractère patrimonial de celle-ci. Elle représente, comme vous
    le savez, la dernière avenue portuaire, vestige de la grande période industrielle de notre cité. Le charme incontestable de cette avenue se
    caractérise principalement par son gabarit, la mer de pavés et les 300 platanes qui la bordent.

    Madame Grouwels, en tant que Ministre de la Région de Bruxelles-Capitale, Capitale de l’Europe vous avez la responsabilité morale de mener des politiques exemplaires pour préserver notre patrimoine et notre environnement. Je sais que vous n’êtes pas l’initiatrice de ce projet coûteux et écologiquement désastreux et vous supplie de l’arrêter tant qu’il n’est pas trop tard!

    Les membres de l’Action Patrimoine Pavés Platanes vous ont proposé un projet alternatif et raisonné. Pourquoi restez vous  insensible à la voix du citoyen et à leurs arguments soutenus pourtant par une pétition signée aujourd hui par près de 4500 personnes?

    Je vous remercie pour l’attention que vous porterez à cette lettre et garde espoir de sauver, avec votre collaboration, notre avenue du Port.

    Je vous prie, d’agréer, Madame La Ministre, mes sentiments les meilleurs.


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  • Epinglé dans Le Soir du jour, page 7, un article d'une demie-page sur l'adoption d'une nouvelle loi, suite au décès de 500 à 2000 personnes ayant pris du Mediator.  Par cette loi (j'ai cherché le texte du projet de loi, en vain), la France  entend

    "garantir l'étanchéité financière entre l'industrie pharmaceutique et tous les acteurs de la filière médicale.  Tout lien devra être déclaré pour éviter les conflits d'intérêts.  Les labos ne pourront plus gâter comme ils le faisaient auparavant les médecins, les étudiants, les organes de presses spécialisés, etc." 

    A la question de savoir si le scandale lié à Mediator pouvait être évité, la journaliste Joëlle MESKENS, affirme répond par l'affirmative.  Seulement dit-elle:

    "Certains experts amenés à se prononcer sur la sécurité du médicament étaient en fait rémunérés par le laboratoire Servier qui les fabriquaient..."

    A noter que

    "La réforme politique ne change rien aux conséquences judiciaires du scandale du Médiator.  Un procès pourrait se tenir l'an prochain.  Après l'affaire du sang contaminé et celle des hormones de croissance, ce serait le troisième drame sanitaire jugé en France".

    Pour une critique de la loi qui ne va pas assez loin, voy. http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/08/02/medicament-ce-projet-de-loi-ne-nous-met-pas-a-l-abri-d-un-nouveau-scandale_1555181_3224.html

    Interview de François Autain [extraits]

    Médecin de formation, le sénateur proche du Parti de gauche François Autain a présidé la mission d'information du Sénat sur le Mediator. En 2006, il a participé à la rédaction d'un rapport sur le système du médicament. Il se dit déçu par le projet de loi sur la sécurité sanitaire, présenté le 1er août par le gouvernement.

    Dans votre rapport, vous abordez la question de la formation médicale continue des médecins…

    La formation des professionnels de santé ne doit plus être financée par les firmes pharmaceutiques. Actuellement, ces dernières interviennent à hauteur de 600 millions d'euros par an, ce qui représente 98 % du coût total de la formation médicale continue des médecins. Un fonds créé avec les taxes que l'Etat perçoit des laboratoires doit pouvoir prendre en charge cette activité.

    [...]

    A vous entendre, le texte comporte plus de lacunes que de réelles avancées…

    Ce texte ne nous met pas à l'abri d'un nouveau scandale. La pharmacovigilance passe par la surveillance du médicament certes, mais il faut aussi éviter chaque année de lancer sur le marché 250 spécialités qui ne représentent pas véritablement de progrès thérapeutique pour le patient.

    Voici ce qu'on peut lire sur le site du Conseil des Ministres français:

    Conseil des ministres (extrait)

    Sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé

    01.août2011

    Le ministre du travail, de l’emploi et de la santé a présenté, avec la secrétaire d’Etat chargée de la santé, un projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé.

    Ce projet de loi est l’aboutissement d’importants travaux d’évaluation et de débats avec les acteurs des produits de santé, en particulier dans le cadre des Assises du médicament. Il refonde le système de sécurité sanitaire des produits de santé pour concilier sécurité des patients et accès au progrès thérapeutique.

    Pour restaurer la confiance dans les décisions prises, la transparence des liens entre les industriels et les experts sera assurée. C’est pourquoi il y aura désormais obligation de remplir une déclaration d’intérêts, qui sera rendue publique, pour tous les membres des commissions siégeant auprès des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, ainsi que des agences et des organismes publics. Cette obligation s’appliquera aussi aux dirigeants et personnels de direction et d’encadrement de ces institutions.

    Cette exigence de transparence sera applicable aux conventions conclues entre les entreprises d’une part, et d’autre part les professionnels de santé, les associations de professionnels de santé, les étudiants en médecine et en odontologie, les établissements de santé, les associations de patients, les fondations, les organes de presse spécialisée, les sociétés savantes et les sociétés ou organismes de conseil intervenant dans ces secteurs, ainsi qu’aux avantages monétaires ou en nature procurés directement ou indirectement par ces entreprises.

    L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) devient l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Elle évaluera les bénéfices et les risques des produits, surveillera le risque tout au long de leur cycle de vie et réalisera régulièrement des réévaluations des bénéfices et des risques. Elle sera également dotée du pouvoir de prononcer des sanctions financières.

    La pharmacovigilance sera renforcée. Des études supplémentaires de sécurité et d’efficacité post-autorisation pourront être demandées au titulaire de l’autorisation de mise sur le marché (AMM), au moment et après l’octroi de cette autorisation. Des mesures pour modifier, suspendre ou retirer les AMM, ainsi que pour interdire la délivrance de certains médicaments, pourront également être prises.

    Dans un souci de protection des patients, le projet de loi prévoit un encadrement des prescriptions hors AMM, en créant des recommandations temporaires d’utilisation élaborées par l’ANSM. Le prescripteur devra en outre porter la mention « hors AMM » sur l’ordonnance et en informer son patient.

    La publicité auprès des professionnels de santé sera désormais soumise à un contrôle a priori de l’ANSM. Par ailleurs, les visiteurs médicaux ne pourront rencontrer les professionnels hospitaliers que dans un cadre collectif. Cette dernière mesure aura un caractère expérimental. Avant le 1er janvier 2013, le Gouvernement présentera au Parlement un rapport dressant le bilan de cette expérimentation avec ses évolutions possibles en termes de pérennisation du dispositif, ainsi que son éventuelle adaptation à la médecine de ville.

    Pour faciliter et optimiser la pratique des professionnels de santé, et permettre notamment la prescription en dénomination commune, la certification des logiciels d’aide à la prescription et à la dispensation est rendue obligatoire à compter du 1er janvier 2015.

    L’encadrement des dispositifs médicaux, c’est-à-dire des instruments, appareils, équipements ou produits (autres que des médicaments), destinés par le fabricant à être utilisés chez l’homme à des fins médicales, est également renforcé.

    Le projet de loi sera examiné par le Parlement dès le mois de septembre.

    Pour en savoir plus:

    Sur le médiator:


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  • Un festival organisé par le mpOC, le collectif Kifékoi, Sens dessus dessous asbl, la ferme de Vevy Wéron et quelques amis volontaires. Avec l’aide du Grappe et de la Maison de l’écologie.

    Sans sponsors et sans pub*, 100% pur jus de bonnes volontés ! Merci à tous les intervenants (ateliers, spectacles, cuisine, logistique, participants, siesteurs, etc).


    * comme quoi, la pub et les sponsors ne sont pas nécessaires!

    Dernière ligne droite avant le Festival décroissant !
    Le programme est mis à jour sur le site :

    FIN DES RÉSERVATIONS LE VENDREDI 5 AOÛT À MINUIT !
    Il reste encore des places tous les jours.

    Infos et réservations : http://festival-decroissant.be
    Téléphone : 0493 52 29 78

    Télécharger « fiche_de_reservation festival decroissant.rtf »

    fiche à envoyer à : reservations@festival-decroissant.be



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  • Remboursement par l'INAMI de la Rilatine: de 1,3 million en 2005 à 5 millions d'euros en 2010

    Lu dans le journal du Soir du jour:

    "Les dépenses de l'Inami liées au remboursement de la Rilatine, utlisée pour le traitement de l'hyperactivité, sont passées de 1,3 million d'euros à 5 millions de 2005 à 2010, soit une augmentation d'un tiers par an".

    Voilà.  Si certains ne s'en inquiétaient pas, je ne sais pas ce qu'il leur faut pour qu'ils commencent à remettre en cause le système...


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  • En pleine page de la rubrique "Polémiques" du Soir s'étale cette question: peut-on imposer la vaccination des enfants?  Impossible de mettre la main sur la version électronique.  Ici un scan "sauvage" de l'article en question.

    Le débat vient au-devant de la scène médiatique "conventionnelle" (média traditionnel) en raison d'une décision récente du Conseil d'Etat.  Le vendredi 8 juillet, cette Haute instance administrative a rejeté le recours en suspension de la décision d'une crèche d'expulser un bébé dont les parents refusaient la vaccination.  La petite souffre d'eczéma, ce qui apparaît, selon les requérants, une contre-indication à la vaccination  (plus d'infos ici).

    Bien que je n'apprécie pas le style d'écriture de ce blog ni la charte graphique, je dois avouer que Initiative Citoyenne est une mine d'or d'informations.

    Le site en question développe les réponses que l'on pourrait reprocher à l'interview de Madame Miermans. 

    Les propos de cette dernière m'ont interpellée sur deux points, voire trois.

    1)  C'est le fameux argument: soit les néerlandophones sont inconscients et leurs bébés sont sous-protégés, ils risquent leur vie, leur santé et celles des autres; soit les francophones sont survaccinés (un parlementaire avait posé la question au cours d'une séance de Q-R, me semble-t-il, il n'y a pas très longtemps.  Je ne parviens pas, ce soir, à mettre la main sur l'info).

    Alors, clairement, Madame Miermans répond à côté.  Personne à qui cette question est posée n'ose expliquer, chiffres à l'appui, la raison de cette différence de traitement[1].   Chiffres à l'appui, quels chiffres? Bien, dans un premier temps, il s'agirait déjà de fournir le taux de couverture vaccinale en Flandre dans les milieux d'accueil (puisque les pro-vaccins aiment tant parler de "couverture vaccinale") ; de fournir également le chiffre d'enfants malades.  Puis de comparer ces chiffres avec ceux de la Communauté française.   

    Parce que clairement, je ne comprends pas.  Les bébés flamands sont -ils donc tous menacés de maladies contagieuses?  Si c'est le cas, les politiques flamands sont inconscients de laisser les enfants courir un tel risque.   Les bambins de la nation flamande ne méritent-ils pas la même protection SI EFFICACE que leurs homologues francophones?

    2)  Pourquoi demander au fédéral de rendre tous les vaccins obligatoires (pour rappel, seul le fédéral est compétent pour rendre obligatoire des vaccins.  En Belgique, seul le vaccin pour la polio l'est), si les citoyens s'y assignent de manière volontaire, dit Madame Miermans.  Si vous le voyez ainsi, Madame Miermans, pourquoi ne pas appliquer cette logique jusqu'au bout et compter sur la bonne volonté des parents francophones, comme le font les Flamands?

    3) Madame Miermans parle du problème des contrôles du respect de cette obligation vaccinale (on parle d'une batterie de plus de 6 vaccins à l'ONE, quand même)  Quel faux problème que cette fuite dans la mise en place des contrôles.  Il existe d'une obligation pour la polio, il s'agirait de demander aux parents les mêmes attestations que pour le vaccin anti-polio.  Voici une solution, à moins que l'intéressée ne croit pas à l'application du vaccin anti-polio.  Alors, là, c'est un autre débat.    

    Par ailleurs,il est toujours intéressant de savoir pour qui travaille la personne qui parle.  Provac...Le site Initiative citoyenne relève qu'au sein de Provac, Madame Miermans collabore le "Dr Béatrice Swennen qui présente des conflits d’intérêts patents avec les industriels comme en atteste le rapport du 30 mai du KCE sur l’intérêt des vaccins antipneumococciques".  voy. la page 4 du rapport ici.

    Enfin, pour terminer sur une note positive, je relève que les arguments décrits par Me Vanlangendonck rejoignent mes préoccupations. 

     

    Ce dossier n'a pas fini de faire chauffer les claviers.  A suivre. 

     


    [1] La Communauté française à qui des parents s'étaient émus de la différence de politique entre les deux communautés s'était contenté de précise que ce qui se passait chez les Flamands ne la concernait pas et qu'elle ne pouvait donner un avis sur la politique flamande (dès que possible, je mets le courrier en question ici).

     

     

     


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  • Je suis toujours étonnée d'apprendre que certains bébés n'aiment pas le bain.  Je me demande si la forme de la baignoire peut rendre ce moment agréable et pour le bébé et pour son parent.

    Certes, ceux qui fréquentent les forums, blogs et boutiques de bébé bio connaissent cette baignoire:

    Baignoire SH°°°


     

     

     

     

    Les forums et sites regorgent de témoignage sur cette baignoire.  Elle coûte dans les 17-18 euros.

    Or, je me rappelle que ma sage-femme nous avait dit que n'importe quelle boîte en plastique faisait l'affaire si notre bébé pouvait y entrer (comme les boîtes de rangement en plastique archi-courantes).  (Presque) tout le monde dispose chez lui au moins un exemplaire de ces boîtes pas spécialement esthétiques.  En tout cas, c'est notre cas. 

    Toutefois, nous avions j'avais investi dans la baignoire SH***, comme des une idiotse attrapés e par la publicité.  Du coup, nous l'avons utilisée.  Et ma foi, puisque nous l'avons, nous continuerons dans cette voie.  S'il n'est effectivement pas évident de laver les fesses de Bébé avec cet ustentile, il me paraît procurer le confort et le contact qu'affectionne Petit bout.  En tout cas, le nôtre a apprécié de se sentir presque comme "enveloppé" par cette baignoire.

    Le temps a passé, nous avons investi dans une autre baignoire plus grande, d'un style plus classique.  Or, cet hiver, lorsque notre Loulou était gardé par mes parents, ces derniers le baignaient dans ceci:

    Baignoire SH°°°

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Comme nous disposions de ce baquet chez nous, mais dans sa version plus petite, et qu'il sert à recueillir l'eau froide avant que celle-ci ne devienne suffisamment chaude pour la douche et le gant de toilette pour le change de Bébé*, notre fils a un jour décidé de passer de sa baignoire traditionnelle à cette baignoire originale.  Encore maintenant, il la préfère à l'autre qui est certes plus large mais qui ne permet pas à son corps d'être "contenu" par le récipient.  Coût : (nous, nous l'avons vu un jour débarqué suite au bon soin de ma belle-mère, mais internet m'indique que le prix courant de cet article avoisine les) 7-8 euros.  Autrement dit, 10 euros moins chers que pour l'objet qui figure sur la première photo.  Moralité: la baignoire de bébé est un achat facilement évitable/contournable.¤

     

     *  La bassine sert aussi pour le linge. Multi-usage!  La baignoire Sh*** avait aussi été convertie en manne à linge, en attendant que d'autres bébés viennent s'y détendre.  Pour l'instant, elle est chez une copine dont le fils n'aime pas les bains.  Ayant appris cela, je lui avais proposé de tester la petite baignoire pour voir si celle-ci lui conviendrait mieux.  Pas de retour pour l'instant, mais je ne manquerai pas de demander à ma copine si les bains se passent mieux qu'avant. 

    édit du 30 juillet 2013 - Le retour de ma copine fut positif.  Son enfant a adoré le bain avec la Shant***.


     


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  • Le discours ambiant du politique vise à responsabiliser chacun à une consommation raisonnable et respectueuse de l’écologie.  Eteignez vos lumières lorsque vous quittez une pièce, fermez le robinet quand vous vous brossez les dents, triez vos déchets, privilégiez la marche, le vélo, les transports en commun au vélo, etc.  Les gestes sont simples, l’investissement faible.  Bref, tout le monde peut faire un geste pour sauver la planète.  Joli, facile.  Mais, en réalité, cette solution est-elle tenable ?

    Lire la suite...


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